« … et pour réparer les torts éventuels ». Nestlé a passé aux aveux concernant son eau « naturelle ». A-t-elle causé des torts ? Je l’ignore, à moins que le contenu de ses bouteilles n’ait provoqué des empoisonnements ou n’ait coûté moins cher que le produit faussement garanti, ce qui aurait alors nui aux acheteurs. Le dommage ne doit toutefois pas être considérable pour les consommateurs.
Le dégât d’image, lui, est total. L’aveu tardif – spontané ? – ne l’évitera pas. Mais au moins, la « triche » est terminée. On peut espérer « repartir » à zéro. Comme en son temps, pour volkswagen.
Si seulement on pouvait en dire autant à propos de la récente « pandémie » du covid, des incompréhensibles secondes vagues de commandes de vaccins, des tromperies médicales ou/et scientifiques, des mesures de confinement et de fermeture des écoles toujours fortement déconseillées par les « Plans- pandémies » minutieusement préparés par des Commissions spéciales jamais consultées mais remplacées, en Suisse, par exemple, par une Task Force mystérieuse, nommée on ne sait vraiment par qui, selon des critères très discrets, avec un mandat confidentiel.
Et ces millions de vaccins périmés, comment les a-t-on détruits ? Ils ne contenaient pas des « virus » morts, puisque c’était là une de leurs grandes nouveautés par rapport aux vaccins classiques.
Quand rendra-t-on enfin publiques les recherches et révélations sérieuses de médecins, scientifiques de maints pays qui lèvent le voile sur l’énorme mise en scène. Quand organisera-t-on un vrai et honnête débat public avec des intervenants d’avis différents, sérieusement documentés, capables d’expliquer pourquoi ils ont suivi telle recommandation plutôt que telle autre.
Les erreurs sont compréhensibles, notamment quand il s’agit de prendre rapidement des décisions de nature politique car ces décisions-là sont toujours influencées par les sentiments et doivent tenir compte d’éléments impondérables liés à la nature humaine et aux mouvements citoyens.
Si les autorités politiques avouent ne pas savoir que faire, elles engendrent la panique. Mais ont-elles alors le droit – pour « rassurer » – de forcer à l’obéissance par la peur et la menace de sanction, et d’effectuer un véritable chantage aux dépens de la santé ?
La douloureuse expérience vécue avec la « pandémie » pourrait se renouveler avec l’IA et la numérisation. Et comme pour la pandémie, la pression internationale et la colonisation par l’économie mondialisée rétrécissent la marge de liberté et l’indépendance de la réflexion des autorités nationales. L’école et « le bien-être des enfants » sont un si touchant et généreux prétexte.