Lors du Point J de la RTS du 12 septembre 2023 (19h30), il a été rappelé que le covid long – qui peut durer plusieurs mois et se manifeste parfois trois mois après un cas de covid – touche un Européen sur 30, avec des gênes durables, pour certains. Cela représenterait, selon l’OMS, quelque 300.000 personnes. Le médecin interrogé à la radio précise que le covid long est encore assez mal connu, qu’il mérite d’être pris au sérieux et devrait faire l’objet de davantage de recherches et que les personnes touchées devraient recevoir plus de soutien.
Telle que décrite, la situation des personnes souffrant de covid long semble très pénible et l’on espère bien que l’on trouvera un moyen de les soulager, voire de les guérir.
Dans le cadre des recherches, il serait évidemment essentiel et fort intéressant de vérifier si les personnes atteintes de ce mal ont aussi été « vaccinées », de déterminer la proportion des personnes vaccinées et non vaccinées qui souffrent de cette étrange malaise, bref, de procéder sans a priori et ouvertement.
Le Temps de ce 27 novembre (p. 6) signale les travaux de l’OMS en vue de mieux lutter contre de prochaines pandémies et de faciliter notamment d’éventuelles vaccinations.
Les travaux de l’OMS ne peuvent, à notre avis, avoir la moindre crédibilité tant que toutes les mesures n’auront pas été prises pour déterminer et publier enfin les conséquences du « vaccin » contre la covid. On ne peut plus tolérer l’omerta officielle sur ce sujet.
ET dire que, dans l’ émission de la RTS citée plus haut, on recommande de « vacciner » les personnes à risque contre les nouvelles formes de covid qui circulent depuis cet été tout spécialement en France, en Grande-Bretagne, en Inde, en Chine etc… afin notamment d’éviter les cas de covid lourds. De qui se moque-t-on ?