- Depuis des années, la guerre en Ukraine s’accompagne de l’explosion de millions d’obus et autres armes de guerre. Ces explosions doivent représenter des tonnes de déchets de tout genre, gazeux et solides. Quel rôle ces déchets jouent-ils par rapport au climat ? Comment peut-on les faire disparaître ? Je ne parle même pas des mines qui posent pourtant le même problème en plus de l’atroce danger qu’elles représentent. Les flatulences des ruminants – que d’aucuns proposent de combattre en modifiant la flore intestinale de nos bovidés – sont-elles vraiment une plus grande menace pour l’environnement que tous les déchets créés par les guerres ?
- La même question concerne les tonnes de bombes déversées sur les malheureuses populations du proche Orient. Les fournisseurs généreux ne se préoccupent ni des victimes humaines ni des déchets en tout genre, gazeux et solides. Hardi les gars, à nous la pluie de feu ! Et tant pis pour le CO2 !
- L’efficacité extraordinaire du service de renseignement du gouvernement israélien a permis l’assassinat de plusieurs chefs de guerre du Hamas, puis du Hezbollah et maintenant de l’Iran. Comment expliquer que ce même service n’ait pas réussi d’éviter le drame du 7 octobre ? Une enquête sérieuse s’impose dont le résultat devra être rendu public car cette « défaillance » a causé la mort et la souffrance de milliers de personnes et une grande déstabilisation du monde.
- L’abondance des déchets laissés dans la stratosphère par les nombreux satellites et vaisseaux en tout genre lancés depuis la terre représente un danger pour les nouveaux engins lancés et pour leurs éventuels passagers. Les techniciens cherchent donc à détruire ces déchets, éventuellement en les ramenant sur terre. Mais que va-t-on en faire ? Leur destruction va-t-elle libérer du CO2 ? Impacter le climat ? Dans la nature, rien ne se crée, rien ne se perd…
- Qu’a-t-on fait avec les milliards de doses de vaccin anti-covid périmées ? Du petit lait ?
- Etc…
La curiosité d’un esprit critique est peut-être un des moyens de lutter contre la crise croissante de méfiance à l’égard des autorités, crise assassine de la démocratie et de la paix.
Ouest France a consacré un article assez détaillé à l’impact environnemental des conflits armés. Il y est question entre autres d’une estimation à 155 millions de tonnes de CO2 durant les deux premières années de la guerre en
Ukraine; soit environ 0,4% des émissions mondiales. Quant aux émissions CO2 des deux premiers mois de combat entre Israël et le Hamas, elles ont été évaluées à ce que produirait la combustion de 150’000 tonnes de charbon. En outre, « la reconstruction future des 100 000 bâtiments détruits dans la bande de Gaza pourrait générer davantage de C02 que la Nouvelle-Zélande en une année. »
Mon pauvre ami si vous vous fiez à Ouest France en matière d’empreinte carbone… Sur le fond: compte tenu que l’homme à ce jour est incapable de faire un inventaire exhaustif du nombre de sources et de puits de carbone sur terre, il paraît parfaitement vain de vouloir dresser une quelconque comptabilité forcément fantaisiste en la matière.
Est-ce que le service de renseignement israélien n’a vraiment pas prévu le drame du 7 octobre? Le service de renseignement ne prend pas de décisions; quant au gouvernement, il peut décider de faire ce qu’il veut des renseignements qui lui sont fournis.
Et si Netanyahou y avait vu un bon prétexte pour déclencher la solution finale du problème palestinien dont il semble rêver? Hypothèse grossièrement complotiste, à l’évidence. Mais comme le faisait remarquer un spécialiste, la prolifération des faux complots n’empêche pas qu’il y en ait parfois des vrais.
Je ne rajouterai rien à vos propos auxquels j’adhère entièrement. Tout, ou presque, y est exposé ainsi que dans les deux commentaires précédents. Merci encore madame Sandoz 🙂
C’est le moment ou jamais de citer Albert Einstein : « N’écoutez pas la personne qui a les réponses, écoutez la personne qui a les questions. » Heureusement qu’il reste encore, ici et là, quelques-unes de ces personnes qui ont à la fois l’intelligence et le courage de poser les bonnes questions. Tant qu’elles existent, tout n’est peut-être pas perdu ! Merci, chère Suzette Sandoz.
On est tout de même en droit de se demander à quoi bon poser des questions, si on ne veut pas écouter les réponses. (Einstein s’amuserait fort des quantités de maximes qu’on lui attribue…)
En ce qui concerne la conséquence des guerres sur le réchauffement climatique, les partis écologistes ne semblent pas s’en soucier beaucoup. En tous les cas, on ne les entend guère sur le sujet. C’est beaucoup plus facile de culpabiliser la population qui n’a pas la chance de bénéficier des transports publics et qui doivent dès lors utiliser leur voiture. C’est aussi beaucoup plus simple de s’en prendre à ces pauvres ruminants qui ne demandent qu’à vivre paisiblement. Vos questions sont très pertinentes et beaucoup s’interrogent sur le fait qu’un pays comme Israël qui est doté d’un excellent service de renseignements n’ait pas vu venir les attaques du 7 octobre 2023. Nous n’aurons sans doute jamais de réponse.
Le CO2, drapeau écologiste. Mais qu’en sait-on ? A l’école, en botanique on nous apprenait que, pour vivre, les arbres devaient se nourrir de CO2 pour rejeter de l’oxygène permettant à l’être humain de respirer et donc de vivre. Aujourd’hui on ne parle que de l’excès de présence de CO2 dans l’atmosphère mais plus personne ne parle de la part d’oxygène rendue par la forêt. Fantasmagorie de chiffres, entretien de la peur, enfumage politique, le monde moderne !
Les mondialistes espèrent une 3e guerre mondiale pour pouvoir poursuivre leur plan satanique. Pour nous faire peur ils agissent dans plusieurs domaines, dont la protection du climat, mais n’abordent pas les questions très pertinentes posées par Mme Sandoz.
Voici un autre danger créé en Suisse dans le laboratoire de Spiez, en collaboration avec l’OMS ! Dans sa lettre ouverte publiée le 17 juin 2025 l’association WIR pose des questions aux autorités suisses. Recevra-t-elle des réponses sérieuses ? Voilà le lien : ttps://essentiel.news/l-infrastructure-des-armes-biologiques-en-suisse-sous-controle-etranger/
Pour plus d’information, voilà l’article publié par l’association WIR le 13 juin 2025 : ttps://essentiel.news/a-spiez-oms-ouvre-son-laboratoire-de-biosecurite/