Merci de ces bonnes nouvelles!

La « Newsletter vaudoise » (tout le monde ne peut pas écrire les « Lettres persanes ») du Temps numérique du 4 août dernier rayonnait de deux bonnes nouvelles, capables, comme l’écrivait l’auteur, de corriger « le cynisme ambiant », et je ne peux résister à l’envie de les partager et de les faire connaître.

 

  • Une entreprise vaudoise forme avec succès des apprentis parmi des requérants d’asile

L’entreprise d’électricité Gaudard forme notamment des personnes venues de différents pays en tant que requérants d’asile et trois d’entre elles viennent de décrocher leur CFC. Bravo aux lauréats et merci à la maison Gaudard de former des apprentis à une époque où il est plus précieux que jamais de reconnaître et de consacrer l’importance et la valeur du travail manuel, une des richesses du canton.

 

  • La fréquentation des girons des jeunesses campagnardes atteint des records

La valeur humaine et professionnelle de ces girons de la jeunesse campagnarde n’est pas souvent honorée. En effet, l’organisation par des jeunes de ces rencontres festives représente une capacité de travail, d’engagement, de dévouement mais aussi de joie de vivre et d’amitié bien éloignée des échanges des réseaux sociaux dont ces girons constituent une sorte d’antidote.

Combien de fois ne perçoit-on pas dans les médias du mépris à l’égard des paysans ou des campagnards accusés par des « bien-pensants » d’être des pollueurs, des retardés conservateurs. Merci au Temps d’avoir au contraire relevé cet élément si positif de la population campagnarde !

 

 

 

 

 

Une réponse à “Merci de ces bonnes nouvelles!”

  1. Merci au Temps, de relater ce qui se passe de bien dans notre pays.. et merci à vous Madame de nous transmettre ces bonnes nouvelles; oui l’apprentissage est une des forces de notre pays. , on a trop misé ces dernières années sur les etudes plus ou moins longues pour le plus grand nombre d’élèves, nos autorités fédérales ayant elles-mêmes trop misé , il y a une trentaine d’année -période de l’ouverture tous azimut des frontières, de la mobilité -sur le tertiiaire qui demande plus de « têtes » que de bras.. Pourtant, des bras, le pays en a grandement besoin , c’est bien les secteurs primaire et le secondaire qui sont créateurs de biens , de richesses.
    Quant aux campagnards , c’est l’gnorance des « bien-pendants » – le plus souvent des urbins- qui génère leur mépris .. les « retardés-conservateurs » ont beaucoup plus de jugeote, de bon sens …

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