De l’immodestie irresponsable de certains climatologues ?

De la modestie des météorologues

En suivant jour après jour les prévisions du temps, je suis émerveillée de la modestie des météorologues : ils avouent qu’à deux jours près ils ne sont pas encore tout à fait sûrs du temps qu’il fera dans notre petit pays. Et souvent, quand un phénomène météorologique se produit – on pense par exemple au récent ouragan de la Chaux-de-Fonds -, interrogé par le journaliste de service sur le rôle du changement climatique en rapport avec un tel phénomène – le météorologue répond qu’il est possible que cela devienne plus fréquent, mais que de tels phénomènes ont toujours existé. Le météorologue sait qu’il ne maîtrise pas la nature même s’il essaie d’en prévoir les sautes d’humeur afin d’en informer les intéressés et de leur permettre éventuellement de prendre les mesures adéquates nécessaires au moment du « choc ».

 

Rien de semblable chez les climatologues

Eux, ils savent que la température moyenne terrestre sera de tant de degrés plus élevée en 2050 sauf si on diminue de tant de pourcents les émissions de CO2, seule vraie cause du changement climatique actuel. « Le débat est clos » selon leurs propres dires. Croyez, Fidèles !

Afin d’obtenir le résultat escompté en matière d’émissions de CO2, il s’agit de changer radicalement et rapidement le mode de vie, les sources d’énergie, les méthodes de constructions, la nourriture, etc… et si on ne se dépêche pas, ce sera la catastrophe.

 

Menacer la santé psychique des jeunes

Pour hâter l’obéissance des Etats et la pression des peuples sur leurs autorités, il s’agit de faire peur, très peur, au risque de provoquer de véritables psychoses chez les jeunes. Les psychiatres s’inquiètent d’ailleurs. Selon M. Philippe Conus, chef du service de psychiatrie générale du CHUV, interviewé par la RTS, hier soir 27 juillet, on constate quelque 4% de suicides de plus. L’éco-anxiété est un mal répandu chez les jeunes et nuit à leur santé psychique. Or la santé psychique est un des ciments de la société.

 

Faudrait-il faire moins peur ?

Non, il n’est pas mauvais de faire peur, répond le psychiatre, car cela permet de proposer aux jeunes de devenir actifs et d’alerter les décideurs. Ils doivent exercer une pression.

 

L’OMS à la rescousse ?

Les milieux de la santé ont remis une pétition à l’OMS attirant son attention sur les conséquences psychiatriques de l’éco-anxiété, notamment sur les jeunes et ce, afin que l’OMS fasse à son tour pression sur les Etats pour qu’ils accélèrent leur politique écologique.

 

Conclusion

La récupération politique du problème du changement climatique est un mouvement extrêmement dangereux et de plus en plus puissant qui cherche à domestiquer les esprits par la peur et la violence, éventuellement en provoquant ou accentuant le malaise psychiatrique de la jeune génération. Ce sont des méthodes totalitaires qui empêchent de réfléchir intelligemment.

86 réponses à “De l’immodestie irresponsable de certains climatologues ?”

  1. Je ne suis pas sûr que les climatologues veuillent absolument terroriser la population. Mais il est vrai que – dans tous les domaines d’ailleurs – les spécialistes doivent apprendre à se montrer moins péremptoires. La science est une méthode dont les conclusions sont toujours assorties d’une marge d’incertitude. Et les gens ne sont plus disposés à accepter n’importe quelle affirmation, sans une certaine transparence sur les moyens qui ont permis d’y arriver et les incertitudes qui subsistent.
    Cela dit, ce sont souvent les médias qui transmettent les conclusions des spécialistes au public. Et en général, les médias ne voient pas d’objection déontologique à sélectionner, dans un rapport scientifique, uniquement ce qu’on y trouve de plus spectaculaire et, si possible, de plus anxiogène.

  2. Quand un philosophe ou une économiste s’autoproclament spécialistes du climat leur parole devient évangile. Quand un professeur de physique spécialiste de thermodynamique met en doute les origines anthropiques du réchauffement climatique il est voué aux gémonies par la doxa en vigueur.
    C’est la signification 2.0 de la liberté d’expression.

  3. On le sait, les politiques adorent ce genre de diversion, lorsque le bateau essuie une houle de plus en plus oppressante et ce n’est pas ce qu’il manque en regard de l’incapacité des politiques face aux réels problèmes qui secouent nos sociétés.

    Alors, on parle du ciel qui va nous tomber sur la tête alors que les politiciens marchent sur la tête !

    De plus, ça permet à la Chine de vendre des batteries pour les voitures électriques et qui sait, devenir bientôt les premiers producteurs de voitures électriques !

    Pendant que nos économies sombrent dans le chaos, ça avait commencé avec ces fameux panneaux solaire photovoltaïque qui demandent 2 fois plus d’énergie électrique que ce qu’ils pourront produire durant leurs courtes vies de 10 à 12 ans. Les allemands deviennent également les cadors de ces véhicules hors de prix alors qu’ils produisent 2/3 de leur électricité avec du charbon, résultat en plus des enfants qui extraient le cobalt en Afrique, leurs voitures émettent plus de CO2 que n’importe quel véhicule diesel !

    Le climat, n’est rien qu’un marketing style pfizer avec le covid !

  4. « Ce sont des méthodes totalitaires qui empêchent de réfléchir intelligemment  » Exact ! Je trouve la jeunesse d ‘ aujourd’ hui extrêmement fragile.. les « sachants  » le savent très bien et jouent sur cette fragilité pour hâter leur main- mise sur cette jeune génération …c’ est à dire l ‘avenir de nos pays, de notre démocratie .. et gare à ceux qui résistent et réfléchissent, s informent sérieusement…

    1. L’ex-président de Greenpeace : « Le changement climatique, c’est pour effrayer les gens afin de les contrôler et faire de l’argent »
      Patrick Albert Moore, ex-président de Greenpeace : « Quand le changement climatique est apparu pour la première fois comme un problème, j’ai réalisé que nous étions dupés et qu’il s’agissait d’argent… cet argent est fait pour créer des récits qui effraieront les gens… »
      ttps://lemediaen442.fr/lex-president-de-greenpeace-le-changement-climatique-cest-pour-effrayer-les-gens-afin-de-les-controler-et-faire-de-largent/
      Evidemment « on » me dira, comme on l’a fait pour certains professeurs /médecins sceptiques quant aux bienfait du vaccin covid, que Moore est un vieux croûton devenu sénile…

      1. Patrick Moore est une personne paradoxale et assez étrange. Lorsqu’il était président de Greenpeace Canada, il avait organisé des blocages de mines d’uranium et il était très virulent contre le nucléaire. Mais depuis son départ de Greenpeace, il a rejoint le Heartland Institute et est devenu un défenseur du nucléaire au passage. Son revirement idéologique est assez surprenant car il a rejoint un des think-tank les plus conservateurs du monde.

        Il semble que le changement d’attitude de Patrick Moore intervient en 1984 quand lui et son frère démarrèrent un business de salmoniculture. Il s’est pris le bec avec ses anciens camarades qui n’appréciaient pas la manière dont son industrie déversait ses déchets dans les eaux. En 1986, Patrick Moore quitte Greenpeace en même temps qu’il devient président de l’association des salmoniculteurs de Colombie-Britannique.

        Patrick Moore a défendu toutes les positions possibles sur le réchauffement climatique au cours des 20 dernières années, parfois même des positions contradictoires. Mais sa dernière affirmation en 2020 est celle-ci: <>

      2. Patrick Moore est surtout un climato-sceptique notoire, abusant de son ancienne présidence de Greenpaece, afin de cacher son loobyisme en faveur d’entreprises destructrices de l’environnement.
        Il échoue ainsi à se donner une image d’écologiste conservateur.

        1. Qu’allez-vous trouver pour disqualifier Greta Thunberg adulée jusqu’à présent mais qui semble , en vieillissant, réfléchir et se montrer moins sectaire: « Si on en a déjà en fonctionnement [des centrales nucléaires, NDLR], je pense que c’est une erreur de les fermer pour tout miser sur le charbon » a expliqué Greta Thunberg, à l’occasion d’une interview accordée à la chaîne de télévision allemande ARD. La militante suédoise reconnaît un sujet « très houleux » et semble vouloir conserver une position tempérée.
          « Alors que la journaliste réitère sa question sur l’arrêt du nucléaire, la jeune activiste préfère ne pas s’étendre davantage et balaye d’un nébuleux « ça dépend, on ne sait pas ce qu’il adviendra de tout cela ». Greta remonte dans mon estime..

  5. Pour comprendre la différence entre la météorologie et la climatologie, on peut faire une analogie simple avec le cas d’une casserole remplie d’eau qui chauffe.

    La climatologie étudie comment la température varie spatialement et temporellement dans la casserole, quelle est la cause de cette élévation de la température, la vitesse moyenne de convection de l’eau, le nombre de bulles par seconde etc.

    La météorologie consiste à prédire à quel endroit va apparaître une bulle et quel sera son parcours, le tout en récoltant un maximum d’informations pour être capable de faire cette prédiction (avec plus ou moins de succès).

    Fin de l’analogie.

    Concernant le réchauffement climatique actuel, la cause est assez facile à identifier. Il s’agit plus de physique que de climatologie. L’accroissement de l’effet de serre s’observe très bien.

    A la fois par satellite:
    – « Using satellite observations to spectrally resolve Earth’s radiative response to warming » par Florian Roemer
    – « Direct Observations Confirm That Humans Are Throwing Earth’s Energy Budget off Balance » par Sofie Bates
    – « Observational evidence of increasing global radiative forcing » par Ryan Kramer et al.
    – « Increases in greenhouse forcing inferred from the outgoing longwave radiation spectra of the Earth in 1970 and 1997 » par John Harries et al.

    Et aussi depuis le sol:
    – « Radiative forcing‐measured at Earth’s surface‐corroborate the increasing greenhouse effect » par Philipona Rolf et al.
    – « Global atmospheric downward longwave radiation over land surface under all‐sky conditions from 1973 to 2008 » par Kaicun Wang et Liang Shunlin
    – « Observational determination of surface radiative forcing by CO2 from 2000 to 2010 » par Daniel Feldman

    Donc l’accroissement de l’effet de serre est une réalité physique mesurable et solidement établie.

    Les évidences scientifiques sont suffisamment fortes pour que des institutions prennent position, voici la déclaration qui se trouve actuellement sur le site de la société américaine de géologie:
    – La « Geological Society of America (GSA) » est d’accord avec les « National Academies of Science, Engineering, and Medicines », le « National Research Council », le « U.S. Global Change Research Program » et le Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat (GIEC) que le climat mondial s’est récemment réchauffé en réponse à des concentrations croissantes de gaz à effet de serre, en particulier de dioxyde de carbone (CO2), et que les activités humaines (principalement les émissions de gaz à effet de serre) sont la principale cause du réchauffement rapide depuis le milieu des années 1900, alors que d’autres facteurs naturels n’y contribuent, tout au plus, que marginalement.

    Si vous êtes intéressée par une introduction à l’histoire scientifique de l’effet de serre, je vous recommande cet ouvrage:
    « Sur les origines de l’effet de serre et du changement climatique » (ISBN 9782360120031)

    Cordialement

    1. Excellent, merci pour ce résumé ! Très intéressant. Il faut distinguer les faits observables de la récupération politique qui en est faite. On peut faire confiance aux prévisions des climatologues, tout en conservant une attitude critique et en écartant une propagande de décroissance économique prétendument inéluctable. Les observations rapportées par les scientifiques sont utiles aux choix politiques, elles ne sont pas censées les remplacer.

      1. Christophe,
        Vous utilisez la confiance que l’on peut accorder aux climatologues, qui se basent sur des données et mesures, pour discréditer une idée politique. Or, que la décroissance ne soit pas votre tasse de thé, ça ne me pose aucun problème, mais des données scientifiques tout aussi solides que celles des climatologues documentent une baisse de la disponibilité des ressources, qui pourraient induire une baisse de l’activité économique. C’est un aspect qui a mon sens est un peu trop sérieux pour le balayer en utilisant le terme de propagande décroissantiste.

        « La tendance globale de l’évolution des concentrations de métaux dans le minerai est à la baisse depuis plusieurs décennies. La littérature est abondante sur le sujet. Citons, parmi ses nombreux articles, une étude réalisée par Mudd qui présente cette évolution pour les principaux minéraux extraits en Australie, un des grands pays pourvoyeurs de ressources naturelles [Mudd, (2007), An Assessment of the Sustainability of the Mining Industry in Australia. Australian Journal of Multi-disciplinary Engineering, Vol. 5, No. 1, 2007: 1-12]. La tendance générale est clairement à la déplétion pour les minerais étudiés : cuivre, or, plomb, zinc, uranium, nickel, diamants et argent »
        ttps://ecoinfo.cnrs.fr/2014/03/11/1-epuisement-des-ressources-naturelles/

        Nous allons avoir besoin de toujours plus d’énergie pour récupérer toujours moins de ressources. A ce titre, il ne serait pas totalement idiot d’au moins étudier la question. Et de balayer les options politiques dans un second temps. Non?

        1. Il y a du vrai dans vos observations: il n’est pas possible de croitre indéfiniment car les ressources sont limitées et les conséquences de l’activité humaine mettent probablement notre survie en danger à long terme.

          Les crises sont des opportunités d’apprentissage. Ainsi, le télétravail et les chaînes d’approvisionnement locales auraient pu contribuer à réduire ces fameux problème de ressources.

          3 ans plus tard, il n’en reste rien. Le trafic pendulaire est pire que jamais et nous nous allons signer à un nouvel accord de libre échange pour nous approvisioner en transportant de la nourriture depuis l’autre bout du monde.

          Par contre, l’opportunité de croissance commerciale n’a pas été manquée; nous avons surcommandé donc détruit en masse: vaccins, masques et tests. Le gaspillage lié à la démesure a été considérable. D’une manière générale, d’ailleurs, la surmédication va faire couler notre système de santé plus que les maladies elles-même.

          Alors, permettez moi de douter de la voie tracée par nos élites en terme de solution au réchauffement climatique: il faudrait consommer plus pour nous sauver d’une mort certaine en remplaçant tout par de l’électrique ?

          Le passage au numérique est un autre leurre: cela ne fait qu’encourager le gaspillage en masquant l’impact sur les ressources: il ne serait tout simplement pas possible de recevoir physiquement par courrier postal ce que nous recevons dans notre boite par courriel.

          Bref, rien d’indique une remise en question (même minuscule) de notre société de consommation. Bien au contraire, les diverses crises n’auront été que des opportunités de faire croitre les profits.

          1. Bonjour OK MAIS SI,

            Je suis absolument d’accord avec votre commentaire. Je faisais juste remarquer à Christophe que son opinion, bien que contraire à la mienne était bien évidemment respectable. Ainsi je questionnais sa tentative de disqualifier la décroissance en la taxant de propagande.

    2. Merci pour cette démarche de vulgarisation. Le coup de la casserole, c’est pas mal, mais il y a toutefois un relent de paternalisme qui dérange.

      La population (dont les lecteurs de ce blog) n’est pas constituée de gamins idiots incapables de s’informer et de contextualiser.

      Comme tous les scientifiques, les climatologues peuvent se tromper (et parfois lourdement). Si l’observation des faits permet de conclure à un réchauffement global lié à l’activitié humaine, il subsiste une importante marge d’erreur quand à son ampleur et ses conséquences.

      C’est là qu’intervient la géo-politique (et la politique tout court) qui décide de mesures concrêtes pour la population.

      Comment s’assurer que les décisions prises sont 100 % liées au problème et pas influencées par d’autres desseins ?

      A l’heure où on ne parle plus que de CO2 pour « sauver la planète », le salut consisterait à troquer son véhicule contre un 4×4 électrique, installer une pompe à chaleur et remplacer la viande par son homologue synthétique ?

      Tout cela dans un contexte où le budget militaire global explose littéralement (toutes nations confondues)

      Alors pardonnez donc mon esprit peu rationnel qui s’inquiète des conséquences potentielles de la capacité de l’être humain à s’entre-tuer avec une efficacité redoutable plutôt que des prédictions alarmistes de scientifiques (qui se sont déjà trompés à de multiples reprises).

    3. Bonjour Alexandre,
      Vous nous aviez déjà fait le coup il y a quelques années sur le blog de Mme Sandoz et aviez alors été réfuté par d’autres sceintifiques, M. Jaquot si je me souviens bien.
      Toutes ces études que vous avancez sont fondées sur la théorie de Manabe et la baisse d’efficacité émissive du CO2 à une altitude un peu plus élevée dans la troposphère. Or cette théorie n’a jamais été vérifiée dans la réalité. La température à 10 km d’altitude n’a pas varié, ni sous les tropiques, ni ailleurs, contrairement aux prédictions de cette théorie.
      Par ailleurs, il faut savoir que le principal GES est de très loin la vapeur d’eau, d’origine naturelle. Son effet est de très loin supérieur à l’effet du CO2, lequel joue un rôle marginal dans le réchauffement climatique.

  6. Les journalistes devraient savoir depuis longtemps que par leurs propos répétitifs et anxiogènes, ils contribuent largement à ce que l’on appelle l’écho-anxiété, donc à l’augmentation du taux de dépression chez les jeunes gens. De plus, je suis très surprise par les propos du psychiatre, M. Philippe Conus, notamment lorsqu’il dit que la peur est bénéfique lorsqu’il s’agit du dérèglement climatique. Comme chacun sait, la richesse de l’humanité est faite de diversités mentales. Partir du postulat que la peur provoquerait les mêmes réactions chez chacun d’entre nous, c’est se tromper lourdement. Certains d’entre nous vont réagir positivement à la peur et prendre des initiatives salutaires alors que d’autres seront au contraire paralysés. On le constate par exemple lors d’accidents de la route, la peur peut être alors contre-productive. Je pense qu’une bonne moitié de la population réagit très mal à la peur. Pour nuancer mes propos, je dirais que la peur est salutaire lors d’un danger immédiat, un cyclone, une avalanche etc… Elle permet à la population de prendre les mesures adéquates pour sauver leur vie. Par contre l’anxiété et l’écho-anxiété sont des maladies qui empoisonnent la vie des personnes qui en sont atteintes et qui ne favorisent certainement pas la prise de décision.

  7. Je ne vais, en aucun cas contredire la note de notre adorée Professeure Suzette Sandoz concernant la fragilité de nos petites têtes blondes ou pas, mais je vais néanmoins rappelé qu’il y a peu, notre voisin, la France, tremblait dans ses caleçons à cause de gamins d’a peine 13-17 ans qui ont retournés une bonne partie du pays.

    Cette fragilité accompagnée de remous hormonaux et parfois idéologiques et qui fait trembler l’ordre sensé maintenir nos société dans le vivre ensemble.

    Un sage chinois disait : Montrer que l’on est fort lorsque l’on est fragile et montrer que l’on est fragile lorsque l’on est fort !

    Dans les 4 premiers jours de ces émeutes, plus de 400 policiers ont été hospitalisés alors que le gouvernement avait juré fermeté et discipline. Un mois après, il n’y a que 73 émeutiers sous les verrous, dont la moitié vont être libérés ces prochains jours, certains de ces émeutiers bientôt libérés, certains avaient été inculpés pour tentatives d’assassinats sur des agents des forces de l’ordre.

    Fragile ?

    Devons parler de fragilité ou de lâcheté ?

  8. C’est comme si le Dr Philippe Conus était engagé par le GIEC – ou ceux qui auront bénéfice dans cette affaire – pour instrumentaliser la peur de ses patients: vive leur anxiété, ça va faire agir les gouvernements. Quelle perversité du rôle de médecin! Sans malice aucune, juste emporté par la tempête ambiante, en toute bonne foi.

  9. Chère Madame Sandoz,

    Je lis avec grand intérêt votre article. Mais je reste sur ma faim! Quelle frustration! Vous décrivez les personnages, les bons et les méchants, la trame est mise en place, on sent bien qu’il y a anguille sous roche et que quelque chose de pas net se trame! Mais la chute, excusez-moi, où diable est-elle??

    Reprenons!

    Donc les climatologues, c’est une sorte de club de gens malsains, des charlatant du climat, qui n’établissent pas plusieurs scénarios basés sur des données scientifiques, mais imposent une sorte de religion du réchauffement dans le but de terroriser la population. Ils publient leurs études dans des journaux scientifiques que chacun peut consulter, ils compilent des données et établissent des modèles, mais bon ils sont louches, et forcément, ils ont un plan. Les coquins utilisent naturellement la peur pour parvenir à leurs fins. L’intro fait saliver.

    Les journalistes officiels, pas les vrais journalistes dont Marie-France n’a pas son pareil pour en dégotter, profitent du crime pour en rajouter une couche. Ils ont aussi un intérêt, mais on n’en sait pas plus pour le moment: suspense!

    Voilà que le corps médical s’en mêle, et l’OMS qui n’est jamais très loin dès qu’il s’agit de peser de sa tentaculaire influence pour nuire à nos intérêts. Bande de filous! On sent bien qu’ils sont contre nous, ils nous ont déjà fait le coup avec les vaccins, on est pas dupes.

    Tout ça est savamment huilé, on sentirait presque qu’un complot se fomente! Madame Sandoz, lanceuse d’alerte, vous les avez démasqués. Surtout que le monde politique récupère l’affaire pour lobotomiser la population pour… Bah pourquoi en fait?

    Et donc les climatologues sont à la solde des écolos, ou c’est eux qui tirent les ficelles? Peut-être que Bill Gates est derrière tout ça, mais alors, comme dit plus haut, on reste sur notre faim. Et surtout on ignore quel projet maléfique anime ces rascals de climatologues, pourquoi cherchent-ils à nous faire peur. Si seulement on avait la réponse, on pourrait simplement vérifier les faits, lever les doutes, ou les défier. Mais le mystère est plus vendeur.

    Mhhhh…. ce scénario est définitivement trop confus et incomplet pour être totalement convaincant. Cette fable en dit même plus sur l’autrice que l’histoire elle-même ne révèle de vérités. Je m’interroge: avez-vous peur, madame Sandoz, au point de dénaturer la réalité de sorte qu’elle vous apparaisse plus supportable? Pensez-vous vraiment qu’un projet de domestication des esprits est à l’oeuvre?

    Peut-être qu’une histoire un peu moins fantaisiste pourrait être racontée: des jeunes gens intelligents, qui savent faire la part des choses, capables de réfléchir par eux-même, se documentent et mesurent les défis de demain. Ils sont préoccupés. Alors ils réagissent comme des jeunes, parfois maladroitement, bruyamment, stupidement même, mais c »est notre jeunesse. Aller à leur rencontre et entendre leurs préoccupations au lieu de les stigmatiser serait peut-être un premier pas pour apaiser leurs peurs.

    1. Vous avez une sacré imagination ! Trop de temps passé sur les réseaux sociaux ?

      Ce que ce j’ai lu, c’est que les météorologues se trompent régulièrement. Ils sont bien obligés de l’admettre car la réalité leur donne tort rapidement. Les climatologues font des projections avec des modèles mathématiques complexes où les erreurs sont fréquentes comme nous avons pu le constater dans d’autres domaines dans le passé.

      Mais qui ira les déterrer dans 50 ans pour leur faire constater qu’ils se sont plantés ?

      Ce que la presse et le monde politique fait de tout cela: alarmisme et obsesssion: « il faut créer un sentiment d’urgence ».

      Florilège: « Le mercure a dépassé les 37 degrés à Genève », « Avec le mercure qui s’affole, les oiseaux tombent comme des mouches », « prisons genevoises: un plan canicule spécifique pour les détenus et le personnel », « la planète a connu, lundi, son record de température journalière », « L’Europe s’attend à un nouvel été très chaud », « Travail et canicule, un médecin prône l’introduction de la sieste en Suisse », « La chaleur accroît le nombre d’accidents du travail », « Comment fuir la canicule et trouver un peu de fraîcheur? », …

      Plus de 60 % de l’espace médiatique consacré au climat ! C’est du matraquage. Sans compter la multiplication d’imprécisions, de « fake news » ou de visuels alarmistes (qui n’ont rien à voir avec le sujet).

      Et pourtant « tout ce qui est excessif est insignifiant », n’est ce pas ? Heureusement, l’été pourri a, en partie, interrompu cette campagne de presse.

      Alors, plus que la peur d’un complot, je ressens une grande lassitude face à cette médiocrité éditoriale.

      Et, si cette hystérie a un effet anxiogène sur les plus jeunes (selon les dires d’un médecin en qui profite pour se mettre sur le devant de la scène), il est temps de revenir à la raison.

      1. @MELCHI
        Je partage votre lassitude. A force de répéter quotidiennement les mêmes propos, les médias finissent par lasser et c’est totalement contre-productif. C’est dommage car je pense effectivement que nous devons faire face à ce problème de dérèglement climatique. Toutefois, jouer sur la peur des gens est malsain et cela mériterait un vaste débat au sein de notre société. Il suffit de lire la presse étrangère pour constater très vite que nos médias, notamment en Suisse romande, sont les seuls à se focaliser sur un seul sujet. Serait-ce par facilité ?

      2. Cher Melchi,

        Vous aurez évidemment compris que je grossissait le trait afin de caricaturer les propos, bien réels eux de Mme Sandoz. Problématiques selon moi, car tout par du postulat que les climatologues nous imposent un ultimatum. Or, je ne sais si c’est par ignorance ou idéologie, mais tout est faux:

        « Eux, ils savent que la température moyenne terrestre sera de tant de degrés plus élevée en 2050 sauf si on diminue de tant de pourcents les émissions de CO2, seule vraie cause du changement climatique actuel. « Le débat est clos » selon leurs propres dires. Croyez, Fidèles ! »

        Ils ne disent pas quelle température il fera en 2050, mais proposent divers scénarios basés sur des modèles selon le niveau d’intervention (ou business as usual) des pouvoirs publics. Ces rapports Ils n’ont aucune autorité décisionnelle. Ils sont faits à la demande des pouvoirs publiques afin de les aider décider ou non de prendre des mesures.
        Il est bien évidemment faux de dire qu’un climatologue sérieux pourrait affirmer que le CO2 n’est pas seul en cause dans le changement climatique. Il suffit de penser au Méthane pour infirmer cette déclaration. Sans compter que, bien que marginale, l’activité du soleil joue également un rôle. Il ne s’agit pas ici de faire porter le fardeau du changement climatique à l’humanité par unique idéologie, mais bien de reconnaître que les activités humaines sont très largement responsable, de part ses émissions de gaz a effet de serre, du changement climatique.
        Le débat n’est pas clos, et la démarche scientifique est bien évidemment à l’opposé d’une doctrine religieuse. Il est presque insultant d’affirmer que les scientifiques, ou uniquement les climatologues peut-être, pourraient avoir un intérêt à se battre contre une vérité qui les dérangerait, et qu’ils trieraient les théories selon qu’elles les arrangeraient ou non. Le fondement même de la démarche scientifique reste d’expliquer des phénomènes en établissant des hypothèses, qui seront soumises à de rigoureuses mesures et expériences afin de pouvoir attester de leur robustesse. Ainsi, toutes les possibilités sont étudiées, et je pense que tout le monde, eux y compris, seraient ravis qu’on leur proue qu’ils ont tort!

        Ceci dit, je retiens votre questionnement, ainsi que celui de Chantal, sur la manière d’aborder la problématique. Car si une rapide visite des sites internet de la RTS, du Temps, du Monde ou de la BBC infirmeront votre ressenti qu’ils ne parlent que de ça, c’est bien plutôt de la forme dont il est question ici. (D’ailleurs contrairement à ce qui est affirmé, l’été n’a pas été pourri, en tout cas pour tout le monde, puisque ce mois de juillet est le plus chaud jamais enregistré).

        Et je pense que c’est en effet une question très intéressante. Comment intéresser la population sans la paralyser par la peur, sans qu’elle se réfugie dans le déni, mais tout de même assumer un discours honnête afin qu’elle comprenne les enjeux et la dimension du problème? Vaste question. Je ne peux m’empêcher de penser que les médias, tous confondus, ont certainement une tendance à stimuler notre appétence pour les mauvaises nouvelles, dans un but commercial. Les travaux de Gérald Bronner sont à ce titre intéressants. Mais tous les acteurs, scientifiques, médias et élus gagneraient à travailler sur cette question.

        Puisque cela vous intéresse, je vous partage un article qui traite des effets des discours positifs sur les angoisses liées au changement climatique, et dont voici un extrait:
        « La psychologie sociale expérimentale a mis en évidence les limites de l’usage de la peur pour persuader ou influer sur les comportements : en l’absence de solutions suffisantes pour faire face à ce qui est présenté comme une menace, le sujet s’engage dans des stratégies de contrôle de la peur (minimisation du danger, décrédibilisation de la source) qui diminuent la portée des messages (Girandola, 2000). Les sciences de la communication ont montré que ces résistances, accrues par l’usage répété de messages anxiogènes, sont particulièrement fortes sur la question climatique, pour laquelle les solutions apparaissent soit dérisoires, soit hors de portée (O’Neill et Nicholson-Cole, 2009 ; Stoknes, 2014). »

        ttps://www.cairn.info/revue-nouvelle-revue-de-psychosociologie-2017-2-page-145.htm?contenu=article

        Bonne lecture.

        1. Merci pour vos remarques. Je vous rejoins sur certains points et notamment la complexité du phénomène qui nous intéresse qui devrait nous inviter à une grande humilité. Ce qui n’est pas le cas de nombreux scientifiques ou politiciens.

          Puisque vous mentionnez CH4, vous êtes probablement informé qu’il fait aussi partie des gaz dans le viseur des mesures.

          Sinon, je vous envie car j’aimerais pouvoir parler avec cette naiveté enfantine façon « bisounours »: la pureté de la science et de ses serviteurs. C’est presque touchant. Malheureusement, mon expérience professionelle et politique m’a rapidement fait comprendre que les choses fonctionnent différement dans la réalité.

          Quand à la presse, elle matraque effectivement et le % évoqué a effectivement été atteint durant les deux semaines de « canicule ».

          Enfin, merci pour l’article qui me semble oublier d’intégrer une dimension assez banale: la fatigue, l’usure et la lassitude. Un dicton populaire nous rappelle qu’à force de crier au loup…

          La peur n’est donc plus d’actualité: 3 ans à marteler les terribles dangers d’une maladie mortelle avec des séquelles gravissimes dans 20 % des cas …. que 80 % de la population a fini par avoir 2 ou 3 fois… ça laisse des traces dans la société.

          ça fonctionne une fois et avec un danger imminent. Donc, pour le climat, c’est déjà raté: la population prend l’avion 2x plus qu’avant la crise sanitaire.

          Je vous propose donc une autre stratégie: arrêter d’infantiliser la population, de peindre tout en noir et blanc, de diviser en anti/pro avec étiquette complotiste et d’utiliser la science pour faire de la politique.

          Un soupçon d’éthique et de qualité dans la communication ne serait pas non plus de trop.

          Bref, une manière plus distinguée de signifier qu’il faut arrêter de prendre les gens pour des c…

          1. Bonjour Melchi,

            « Pour le reste vous avez entièrement raison. Les hommes de science ne sont pas immuns de luttes d’influences, d’Ego, d’erreurs, et même parfois de falsifications. »

            « des jeunes gens intelligents, qui savent faire la part des choses, capables de réfléchir par eux-même, se documentent et mesurent les défis de demain. »

            Voilà des propos tirés d’autres de mes interventions. Contrairement à ce que vous voulez me faire dire, je suis bien évidemment réaliste sur la communauté scientifique, et je prône bien entendu de faire confiance à tout un chacun pour se documenter. Vous pouvez dès lors garder vos remarques condescendantes pour vos joutes politiques et vous recentrer sur le fond.

            La question n’est pas de défendre la communauté scientifique, mais de questionner le fait qu’elle puisse avoir un intérêt caché à répandre la peur. Tant que vous n’aurez pas démontré que c’est le cas, l’on pourra toujours soupçonner que vos propos servent d’autres desseins que la recherche de la vérité. Quand on n’aime pas le message, l’on s’en prend au messager. Une approche relativement malhonnête pour discréditer un message qui vient contrarier certaines positions idéologiques ou activités commerciales. Cela s’est vérifié avec les arguments des lobbies du tabac, de l’agro-alimentaire. Maintenant du climat. C’est une technique éprouvée et efficace pour attirer le crédule et détourner l’attention que le message lui-même pourrait mériter.

            Donc oui, je suis encore une fois d’accord avec vous, arrêtons d’infantiliser la population et de peindre tout en noir et blanc, de diviser en anti/pro avec étiquette complotiste et d’utiliser la science pour faire de la politique, en dénonçant des propos clivants, qui cherchent à discréditer une communauté afin de disqualifier son discours.

          2. @Ah bin non alors,

            Merci pour le retour. Désolé de vous décevoir: ni condescendance ni capacité divinatoire dans mes propos (un commentaire que vous citez est postérieur à la rédaction du mien).

            Je ne vous ferai donc rien dire d’autre que ce que vous avez écrit: « Il est presque insultant d’affirmer que les scientifiques…pourraient avoir un intérêt à se battre contre une vérité qui les dérangerait, et qu’ils trieraient les théories selon qu’elles les arrangeraient ou non. »

            Rien ne les arrange en effet: ils font tout simplement ce qu’ils peuvent pour survivre financièrement ou garder leur job. Quand aux organismes de contrôle, ils sont financés par les industries qu’ils sont sensés contrôler. Et vu que les possibilités de promotions internes restent limitées, leur futur employeur sera probablement la société qu’ils devaient contrôler. Je connais des dizaines de cas.

            Quand à la suite: « fondement même de la démarche scientifique reste d’expliquer des phénomènes en établissant des hypothèses, qui seront soumises à de rigoureuses mesures et expériences afin de pouvoir attester de leur robustesse. »

            Oui, mais dans la vrai vie, tout cela demande des financements. Alors il faut simplifier, raccourcir les tests, rester concentré sur un objectif. La moindre étude complémentaire coûte et si cela ne plaît pas alors ça ne passe pas. Dans le milieu académique, la quantité de publications prime sur la qualité.

            La science telle que vous la décrivez est tout simplement incompatible avec notre société. D’autres domaines ont subi les mêmes régressions (art, médias).

            Voilà pour les bisounours.

            Sinon, nous semblons tomber d’accord sur le fait qu’il faut arrêter de prendre la population pour ce qu’elle n’est pas. Il serait donc temps que les médias fassent preuve d’honnêteté et présentent une vue plus équilibrée de la réalité. Je vous rappelle tout de même que la censure a été officialisée par l’UE et que les USA ont admis avoir censuré des informations correctes et vérifiées parce qu’elle entraient en contradiction avec la politique.

            Ceux qui exprimaient ces opinions divergentes ont été classées complotistes par la presse sans aucun droit de réponse.

            Alors, ne vous étonnez pas que le climato-scepticisme se renforce.

  10. Les climatosceptiques sont méchants car des gens décèdent à cause du réchauffement. Ils l’ont dit à la télé après une expérience scientifike: « En Suisse, 60% des décès liés à la chaleur sont dus au changement climatique »

    « En été 2022, le réchauffement climatique a été en cause dans près de 60% des plus de 600 décès attribuables à la chaleur en Suisse. C’est ce qu’indique une étude de l’Université de Berne publiée dans la revue Environmental Research Letters. », RTS

    C’est affreux !

    … alors, lisons l’étude en question: « The footprint of human-induced climate change on heat-related deaths in the summer of 2022 in Switzerland »

    1) il s’agit d’une simple estimation basée sur des projections en fonction de la mortalité avant 2022

    2) aucun lien entre les décès et leur cause n’est effectué

    3) il y a eu tellement d’autre causes exceptionelles possibles de décès durant cette période qu’il est impossible d’utiliser ces chiffres de manière fiable (Covid, etc).

    Même l’étude le stipule: « Also, it remains unclear whether mortality data in 2020 and 2021 can be reliably used in this kind of assessments since COVID-related mortality waves could introduce biases ».

    En fait, des centaines d’autres raisons ont pu avoir un impact sur cette surmortalité (accès aux soins retardés, conséquences des mesures sanitaires, etc).

    Bref, cette étude est biaisée et pas très crédible, le journaliste n’a pas ait une lecture très critique (il n’est même pas certain qu’il l’ait lu). Alors il ne faut pas s’étonner qu’une partie de la population commence à douter.

  11. On voit de tout et son contraire, bien malin qui pourra prédire l’imprévisible.

    On ne prévoit pas une tornade à la Chaux…. mais on veut prédire dans 30 ans….!
    Lu sur LinkedIn, pour ceux qui ont accès (gratuit): quelques extraits, sans jugement aucun, chacun peut y voir ses vérités:
    ttps://www.linkedin.com/posts/thomas-wagner-0807b932_ce-quil-se-passe-en-atlantique-nord-est-activity-7088418344441106433-cvzg
    ———-
    Ce qu’il se passe en Atlantique Nord est tout simplement exceptionnel. Pour prendre la mesure de l’évènement, les canicules marines peuvent être considérées à des incendies sous-marins.
    Voilà ce qui devrait faire l’actualité. Pas le burkini ou les soldes d’été.
    ——–
    Un article complet sur le sujet des canicules marines est disponible sur Bon Pote, écrit par Raphael Seguin : ttps://bonpote.com/canicules-marines-des-incendies-sous-marins-aux-consequences-alarmantes/
    ——–
    Les océans, en plus de nous fournir (entre autres) la moitié de l’air que nous respirons, absorbent 90 % de l’excès de chaleur causée par les activités humaines. ⚠️ La tendance continue de réchauffement des océans va donc se prolonger et les phénomènes s’aggraver/s’accélérer 🚨 tant que nous ne diminuerons pas urgemment et radicalement les émissions de Gaz à Effet de Serre (dues principalement aux énergies fossiles : pétrole, charbon et gaz).
    ——–
    Je suis très étonné que depuis peu de temps tous le monde s’alarme sur le climat pourtant en 2015 des articles, suite à des études prévoit un début d aire glaciaire a partir de 2030.
    ttps://www.lefigaro.fr/sciences/2015/07/13/01008-20150713ARTFIG00193-une-mini-periode-glaciaire-pourrait-toucher-la-terre-a-partir-de-2030.php
    Si cela est le cas, que deviennent les etudes du GIEC.🤔
    ———-
    etc…….

    1. Bonjour Serge,

      Me référant à un article de la Nasa, j’apporte quelques éléments par rapport à l’événement d’ère glaciaire que vous mentionnez.

      L’ère glaciaire que vous mentionnez à débuté avant le Maunder Minimum. Bien qu’il soit probable que cet événement solaire ait pu avoir un rôle dans cette période de refroidissement de notre planète, la corrélation n’est pas absolue, et d’autres facteurs tels que des cendres volcaniques, des fluctuations naturelles de la circulation des océans ont pu jouer un rôle.

      Se basant sur une diminution du magnétisme solaire et une diminution des taches solaires, certains scientifiques spéculent sur un nouvel événement de diminution d’activité solaire pouvant conduire à ce que moins d’énergie solaire parvienne à la terre. Mais ces propositions ne font pas consensus. Des modèles postulent qu’une diminution de 0,3 degrés pourrait advenir. Ce qui dans le contexte actuel serait bienvenu mais ne compenserait pas les 1,5 degrés d’augmentation de la température depuis le début de l’ère industrielle.

      ttps://climate.nasa.gov/explore/ask-nasa-climate/2953/there-is-no-impending-mini-ice-age/

      1. Qu’une hypothèse scientifique « ne fasse pas consensus » ne signifie pas grand’ chose quant à son importance, la science n’étant pas une option politique. Ce qu’îl y a d’intéressant, c’est de pouvoir confronter les découvertes, les résultats de recherches, les données différentes récoltées par les scientifiques. Pour cela, il suffit de ne pas museler les auteurs de résultats différents de ceux qui « font consensus ».

        1. Le consensus n’est qu’une tendance générale au sein de la communauté scientifique. En réalité, il n’y a aucune institution qui a le pouvoir de fabriquer ce consensus. Même le GIEC ne fait que résumer la littérature scientifique publiée. Il y a des milliers de revues scientifiques où les chercheurs peuvent publier, celles-ci sont généralement gérée par des entreprises privées, c’est donc impossible de museler la parole d’un groupe de chercheurs. Chaque pays a aussi ses propres universités et ses propres institutions. Par exemple, la Chine, l’Inde, la Russie et les Etats-Unis ont tous les trois l’équivalent d’une académie nationale des sciences. Ces quatre pays ont des intérêts très divergents et pourtant les académies nationales de ces quatre pays ont déjà exprimé leurs positions officielles (qui sont similaires à celle du GIEC). Je crois plutôt que les chercheurs qui n’arrivent pas à convaincre leurs collègues se victimisent, et cherchent à obtenir le soutien de la foule et des politiciens.

        2. Voici un exemple récent:

          ttps://www.msn.com/en-us/news/world/nobel-prize-winning-scientist-gets-canceled-for-what-he-just-said-about-climate-ghange/ar-AA1eyC3S

          Même si ce scientifique devait être influencé (politiquement ou pour d’autres raisons) ou qu’il se trompe tout simplement, la démarche scientifique implique que ses pairs démontrent son erreur par des données rationnelles.

          Le recours à la censure est un aveu de faiblesse qui ne fera qu’alimenter le scepticisme.

          L’évolution de notre société est bien plus inquiétante que le réchauffement climatique.

          1. Sauf que la démarche de John Clauser n’a rien de scientifique. Il ne fait qu’exprimer son opinion. Il ne fait pas de recherche et il ne publie rien sur le sujet. De plus, l’opinion qu’il exprime est très éloignée de celle d’un scientifique qui débat sur les dernières recherches. Il a notamment exprimé le fait que les climatologues suivent un agenda et que le GIEC est une institution qui a pour but de faire de la désinformation. C’est une opinion politique. Et la censure qu’il a subi c’est juste que le Fonds Monétaire International (FMI) a annulé son discours. Donc une institution politique a réagi aux opinions politiques qu’il venait d’exprimer.

          2. Merci, vous m’apprenez beaucoup de choses, comme d’ailleurs plusieurs articles dont je me régale, entendant des avis différents et récoltant des informations variées ce qui manque tellement dans la presse.
            Mais vous me pardonnerez une remarque concernant l’annulation d’un discours par le FMI, discours où un « non-scientifique » exprimait une opinion: cette annulation est en effet un acte politique et c’est de la censure car la censure est précisément un acte politique – désolant – et non pas scientifique. Le seul problème – et c’est une vraie difficulté, mais passionnante aussi – c’est de déterminer la limite entre une simple opinion divergente et une expression pénalement répréhensible ou la manifestation d’un abus de droit qui justifieraient alors une « censure », naturellement motivée. La personne censurée doit savoir la raison de cette censure et pouvoir éventuellement se « corriger » ou/et se « défendre ».

          3. @Pepito,

            Qui êtes vous pour juger de la démarche d’un prix Nobel (physique quantique) ? Ce type ne serait pas assez qualifié pour lire les études publiées et en débusquer les biais ?

            Et empêcher quelqu’un de s’exprimer uniquement car son opinion dérange, ce n’est pas de la censure ?

            Comment ne pas conclure que cette censure n’est pas systématique et qu’aucun scientifique avec des idées qui dérangent ne sera désormais invité par les médias pour un débat contradictoire ?

            C’est précisément le fait que l’on ne donne pas la parole à ceux qui doutent qui me fait relativiser l’ampleur du problème dont on nous rebat les oreilles et des solutions à y apporter.

            Drôle d’époque.

          4. Dire en 2023 que le réchauffement climatique n’existe pas n’est pas une opinion, c’est un mensonge.

            On peut penser qu’il es plus avantageux de miser sur l’adaptation plutôt que des mesures pour réduire les émissions (opinion), mais remettre en question le réchauffement climatique, à moins de prouver qu’une conspiration a permis de hacker tous les thermomètres de la terre, est juste une contre vérité. Toutes les théories sont évidemment considérées. Dire qu’elles pourraient être réfutées par idéologie est faux, et démontre plus un refus de s’informer de la démarche scientifique que de vraiment connaitre son fonctionnement, ce qui est un peu décevant.

            Il est dès lors tout à l’honneur du FMI qu’il veuille si distancer d’un tel personnage. Et ce monsieur n’est pas cancel, il peut librement continuer à répandre sa bonne parole sur toutes sortes de médias complaisants.

            Pour ceux qui voudraient se donner la peine de comprendre ce qu’est une démarche scientifique, le Giec et ses rapports, c’est ici:
            ttps://www.youtube.com/watch?v=C_UTlTiVQ_0

      2. @AH BIN NON ALORS
        Merci pour votre retour.
        Je n’essaie pas de plaider en faveur d’un événement dans dix ans, car je n’en sais rien, je suis toujours en train de spéculer. Mais votre lien m’intéresse beaucoup.
        Cependant, je suis sceptique sur tout ce qui se passe et nous sommes tous les jouets du marketing forcé des géants industriels pour pousser les VE (minerais), H2, qui représentent des sommes d’argent considérables. Mais quand tout ira mal à cause de mauvais choix économiques, nous paierons tous la facture.
        Mais quoi que l’on fasse, l’inertie thermique de la Terre est telle, qu’il faudra 500 ans pour que nos choix puissent impacter le moindre changement de tendance.

      3. Si j’ai bien compris la lecture de votre lien : la diminution de l’activité solaire ne jouerait aucun rôle sur un refroidissement éventuel de la terre, donc aucun rôle non plus quand l’activité augmente comme actuellement.. Quand le GIEC le dit c’est que c’est vrai : La NASA se base sur les rapports du GIEC., , groupe intergouvernemental d’experts sur l’évolution du climat. Peut-être aller chercher un peu ailleurs que le GIEC , il y a aussi des scientifiques, des experts dans d’autres groupes de recherche un peu plus « nuancés »
        ttps://www.futura-sciences.com/planete/actualites/climatologie-lumieres-lien-taches-solaires-climat-terrestre-44080/
        Le soleil est notre seule source de chaleur… quand il s’éloigne de notre hémisphère.. c’est l’hiver, il fait froid,- merci Monsieur de Lapalisse -et il fait plus chaud dans l’hémisphère sud… et inversement dans l’autre moitié de l’année. Idem avec la rotation de la planète : il fait moins chaud la nuit que le jour … il fait d’ailleurs toujours plus chaud dans les pays du sud de l’hémisphère nord , même l’hiver parce que le soleil se trouve toujours plus prés de l’équateur ( vers le Sud pour l’hémisphère Nord et vers le Nord pour l’hémisphère sud .. donc, j’en conclus que l’activité solaire a un impact sérieux sur la température de notre planète .. et nous sommes dans un cycle de forte activité… cela dure depuis le Bigbang..

        1. Eh oui Marie-France, ca peut arriver encore en 2030++
          ttps://www.histoires-de-paris.fr/seine-gelee/

          Si nous interdisons maintenant l’utilisation du pétrole et du gaz, nous devrons compter sur des centrales nucléaires fermées car l’eau de refroidissement des réacteurs sera gelée, ainsi que sur l’eau des barrages hydroélectriques qui seront également fermés, avec conduites éclatées.
          Mais bon, restons positifs et prions que cela n’arrive pas…..

        2. Bonjour Marie-France,

          Vous semblez avoir mal compris. L’article dit que l’activité solaire a EFFECTIVEMENT un impact sur la température de la terre, mais qu’une telle baisse d’activité aurait une influence relativement mesurée sur l’augmentation graduelle du réchauffement que nous mesurons. L’article que vous citez va d’ailleurs dans le sens de celui que je cite.

          Je ne comprends pas ce que vous voulez dire par le fait que le GIEC manquerait de nuance. Vous pensez qu’il dramatiserait ses rapports dans un but inavoué?

          1. Je veux dire par là que le GIEC émet des « Vérités  » qu’il estime incontestables .. Le GIEC a dit , donc c’est vrai, aucun doute n’est permi…. de là à penser qu’il dramatiserait ses rapports dans un but inavoué…. c’est tentant …

  12. On sous-estime les risques industriels de VE avec les batteries qui explosent (impossible à éteindre) et on ne parle pas encore de l’hydrogène, donc l’instabilité est archi-connue et dangers connus (haute pression, inflammable, oxydation du métal, etc).

    Quid des avions électriques qui exploseront en vol?
    ttps://www.letemps.ch/suisse/geneve/une-batterie-de-cigarette-electronique-en-feu-un-avion-a-du-revenir-a-geneve

    ttps://www.linkedin.com/feed/update/urn:li:activity:7091373813333970944/
    Explosion des batteries de 2 VE en collision…

    L’Homme est maintenant en … Terres Inconnues….!
    Soyez prudents.

  13. Merci Mme Sandoz pour votre article. La pensée unique est devenue la règle. Faire systématiquement peur à la population une technique éprouvée utilisée dans tous les domaines. Il est devenu indispensable de s’informer soi-même sur Internet. Savez-vous quel est le pourcentage de CO2 dans l’air ? 0,04% ! Et savez-vous que l’augmentation du CO2 est bénéfique à toutes les plantes utilisant la photosynthèse pour se nourrir ? Raison pour laquelle François Gervais, physicien français, a écrit son livre « Merci au CO2 ». A ce propos, voilà une vidéo de 17 minutes : ttps://www.youtube.com/watch?v=oxql8o1v-oA

    1. Je suggère la lecture du livre de Christian Gerondeau « Le climat par les chiffres » en sous titre : « Trente ans de mensonges »; sortir de la science fiction du GIEC  » (edit. L’Artilleur)
      J’imagine déjà ses détracteurs persuadés de détenir la vérité, lui préparer un « hommage » comme ils le font pour tous ceux qui ne sont pas de leur avis.
      Je voudrais donner un exemple sur la façon dont on manipule les gens , soit par idéologie , soit par ignorance.
      On nous parle souvent dans la presse-en tout cas en France d’un « phénomène » inquiétant : le recul des falaises de Normandie.. Tout le monde connait la fameuse image des falaises d’Etretat… äa cause des très fortes précipitations, qui provoquent infiltrations et ruissellements ; les tempêtes et les alternances de gel et dégel .. et ce depuis la nuit des temps, les falaises étant des falaises de craie, et non de granit ! tout simplement On apprend ça – en tout cas on apprenait ça- à l’école primaire , en France en leçon de géographie..
      On apprenait aussi que le Rhône durant des millénaires a transporté dans sa fougue des galets , des graviers, des boues du limon , tout ce qu’il « raflait » lors de ses crues , depuis son Valais natal jusqu’à la méditerranée où i les déposait en arrivant, la terre prenant ainsi au fil des millénaires, le pas sur la mer…c’est la Camargue. Mais ce « taureau fougueux » a été « canalisé » corseté ,calmé par de nombreux barrages… quasiment fini les dépôts d’alluvions en bout de course… la Camargue n’avance plus vers la mer, c’est la mer qui avance vers elle et reprend ses droits.. Mais les « scientifiques » écolo nous font peur en prétendant que la mer monte à cause du réchauffement climatique…

      1. Marie-France,

        Votre commentaire me fait penser au syndrome de Galilée. Vous prêtez du crédit à une voix miraculeuse qui a tout compris envers la communauté « scientifique » mal intentionnée. Ainsi il convient de pré-supposer que les scientifiques, dont on doute de leur statut en les mettant entre guillemets, sont vendus à une cause malfaisante (écolos) et utilisent la terreur pour nous imposer des arguments forcément fallacieux.

        C’est une position assez osée, et qui mériterait d’être un minimum documentée pour qu’elle soit prise au sérieux. Si vous avez des éléments qui démontrent que le Giec est une organisation criminelle, c’est le moment de nous le faire savoir. Si a priori nous n’avons pas de raisons d’invalider les résultats de Mr Gerondeau, nous n’avons pas non plus de raisons d’y accorder plus de crédit que les centaines de papiers scientifiques qui démontrent le contraire. De plus, vous semblez prêter au giec une sorte de puissance occulte qui aurait un agenda politique, ce qui démontre une grande méconnaissance de leur travail.

        Le fait d’imaginer que de diffuser la peur est leur principale motivation m’interroge également. Accuse-t-on son médecin de nous terroriser lorsqu’il nous présente les résultats d’une analyse et nous annonce que nous sommes victime d’un cancer? C’est une information tragique dont le but n’est pas de nous faire peur, mais bien de nous rendre attentif qu’un traitement serait avisé…

        Je reviens pour conclure à ce fascinant syndrome de Galilée, dont je vous livre l’extrait du texte d’un chercheur en psychologie sociale de l’université de Fribourg:

        « Outre les erreurs logique (« Si opinion à contre-courant alors génie ») et statistique (la majorité des opinions à contre-courant sont fausses dans le domaine des sciences) déjà décrites, une troisième erreur, épistémologique celle-là, intervient, une mécompréhension du fonctionnement des sciences — ce qui est normal, puisque la plupart des gens ne sont pas scientifiques. Certain·es vont faussement accuser les sciences ou le consensus scientifique d’être dogmatique, de ne pas prendre en compte les opinions minoritaires. En effet, les sciences fonctionnent bel et bien, comme la démocratie, par l’avis majoritaire, mais ne ferment la porte devant aucune proposition minoritaire. Simplement que ces propositions minoritaires auront à leur charge le fardeau de la preuve si elles veulent s’imposer face aux opinions majoritaires, et un fardeau d’autant plus lourd si leurs propositions contredisent davantage de principes ou de résultats acceptés temporairement par la majorité. Ainsi, les spécialistes qui professent le plus souvent dans des canaux non scientifiques comme les médias ou internet devront, pour convaincre leurs collègues que ce sont des Galilée et pas des Bigard, avancer de très fortes preuves empiriques, arguments théoriques, etc., afin de convaincre la majorité des autres spécialistes, comme celle des task forces de tous les pays du monde, qui sont bien plus nombreux que nos scientifiques minoritaires, et qui envisagent bel et bien toutes les hypothèses : si ces task forces ne suivent pas l’avis minoritaire, ce n’est pas par l’influence d’un complot des grandes entreprises pharmaceutiques, ni par une attitude dogmatique ou une censure face aux opinions minoritaires : c’est parce que ces idées minoritaires n’ont pas réussi à convaincre avec les outils qui ont fait avancer les sciences depuis des siècles. »

        L’article est disponible ici:
        ttps://perso.unifr.ch/pascal.wagner/pourquoi-galilee-netait-pas-complotiste/

        1. Merci pour les sources. Ainsi la science fonctionne comme la démocratie ? Les « scientifiques » recoivent un dépliant avec les arguments des pour et des contre, puis on vote ? Et la majorité gagne ?

          Votre discours est infiniment politique. La science est à l’image de notre société: il lui faut un financement (« le client est roi »..) et elle est conduite par des personalités avec des ego parfois surdimensionnés dans un système très hiérarchisé.

          Le milieu de la recherche fonctionne ainsi et tout ceux qui ont publié quelque chose dans leur vie le savent très bien. Sans parler des directeurs de recherche qui doivent assurer les financement.

          Alors, donner un peu de visibilité à quelques voies dissidentes me semble bienvenu pour équilibrer notre appréhension de la connaissance.

          Dans ce contexte, apporter un contre-argumentaire sur le contenu plutôt que sur la forme (ou le pédigrée de l’auteur) serait une forme de respect.

          1. Bonjour Régis,

            Je vous laisse le soin de retourner à vos cours de compréhension de texte pour étudier le sens du propos de Mr Wagner-Egger.

            Pour le reste vous avez entièrement raison. Les hommes de science ne sont pas immuns de luttes d’influences, d’Ego, d’erreurs, et même parfois de falsifications. La recherche scientifique produit pourtant de robustes données, notamment parce que les financements publiques imposent une certaine déontologie au corps scientifique, mais surtout par le mécanisme de révision par pairs, qui donne un clair désavantage aux études dont on arrive pas à démontrer la robustesse. Le milieu de la recherche fonctionne ainsi et tout ceux qui ont publié quelque chose dans leur vie le savent très bien.

            Les arguments des personnes citées plus haut sont prises en compte, mais la pauvreté de leur argumentation, les trucages, les contre-vérités et les erreurs sont telles que ces personnes se disqualifient toutes seules quand il s’agit de démontrer leur théorie.

            Et puisque vous le demandez, je vous propose la vidéo en deux partie d’un scientifique qui discute les arguments de Mr Gervais. :

            ttps://www.youtube.com/watch?v=XGq4WRTLfvc

            ttps://www.youtube.com/watch?v=mqAaokrY1NU

            Bien cordialdment

          2. Cher Ah Bin Non Alors,

            En effet, il fallait bien épicer un peu ce texte d’une platitude conformiste digne de ChatGPT. Bigard n’est pas une référence mais valait-il un tel enfumage pour le discréditer ? A l’époque de Galilée, le pouvoir était religieux aujourd’hui il est économique, ça s’arrête là. La triste histoire de Semmelweis eut probablement été une meilleure référence.

            Votre sens de l’humour est bien plus savoureux: « des données robustes » et la « validation par les pairs » comme gardiens de la recherche.

            Les données sont un très vaste sujet et heureusement suffisament complexe pour qu’il permette de faire à peu près n’importe quoi. C’est aussi devenu un business très lucratif.

            Quand à validation par les pairs, c’est la politisation de la science par les egos et les conflits d’intérêts. Les chercheurs sont obligés d’enjoliver l’abstract et les conclusions pour publier. Les études en pré-publication qui ne plaisent pas sont parfois tout simplement retirées sans raison vraiment valable.

            Beaucoup de scientifiques pensent qu’il y a un gros problème actuellement. J’ai relevé (parmi tant d’autres) un article paru dans le BMJ le 13 mars 2022: « The illusion of evidence based medecine ».

            La science est au service du commerce. Le financement public a été réduit à peau de chagrin. Dans certains pays, il est devenu très difficile de terminer ses études dans diverses filières sans un financement privé (avec les conflits d’intérêts que cela implique).

            Mais je vous remercie pour vos deux références YouTube. J’ai dû toutefois interrompre le visionnage après la 5ème publicité pour une multinationale de chimie qui faisait du green washing…

            CQFD.

      2. Christian Gerondeau ?
        Encore un farfelu climato sceptique qui s’enrichit en vendant ses nombreux ouvrages mensongers.
        Du pain béni pour rassurer les négationnistes du climat !

        1. A Pierre-Alain Tissot: Vous utilisez la technique consistant à dénigrer toutes les personnes qui s’opposent à la pensée unique. Pourtant, comme l’a fort bien expliqué le Prof. Didier Raoult dans une de ses dernières vidéos, pour faire avancer la recherche dans un domaine donné il faut engager des farfelus ayant le courage de remettre en question les théories précédentes et la pensée dominante. Si ces chercheurs font une découverte ils doivent savoir que cela va prendre des années pour que leur découverte soit acceptée par la doxa. Ils risquent aussi d’être mis à l’écart, harcelés, etc. Il leur faudra beaucoup de courage, d’endurance et de ténacité.

          1. Vous avez raison. Il est extrêmement difficile de présenter et de faire accepter des résultats contradictoires de certains consensus. Il y a une forme de résistance qui s’opère et il faut les reins solides pour faire chanceler certaines idées établies. Pour autant, il est statistiquement très peu probable que ces théories alternatives se révèlent vraies. (Voir le syndrome de Galilée dont je parle en réponse à Marie-France.

            Or les résultats présentés par les personnes que vous mentionnez ne sont pas assez sérieux pour prétendre avoir une valeur scientifique.

            A propos de Mr Raoult:
            « « Dans l’esprit collectif, beaucoup semblent croire que ce sont juste des scientifiques et des journalistes scientifiques qui râlent alors qu’il y a des résultats positifs : mais non, il n’y a pas de résultats positifs que l’on peut attester. L’étude ne respecte aucune méthode, alors c’est comme construire un mur sans ciment, si on s’appuie dessus, il s’écroule », illustre à Numerama Nicolas Martin, présentateur de La Méthode scientifique sur France Culture. »

            ttps://www.numerama.com/sciences/614708-chloroquine-les-graves-erreurs-scientifiques-de-la-methode-raoult.html

            Comme vous le préconisez, il convient de croiser ses sources, et de rester critique sur la vulgarisation scientifique autant que les récits alternatifs un peu trop simplistes et alléchants.

        2. A Pierre-Alain Tissot: Mon nom n’était pas entièrement tapé. Je corrige car je n’utilise jamais de pseudo.

      3. Mieux que Gérondeau, qui a un problème rédhibitoire de mon point de vue, qui est qu’il ne cite pas ses sources, je suggère la lecture de l’excellent « Climat, la part d’incertitude », de Steven E. Koonin (L’Artilleur, 2022)! Et Lui, on ne s’en débarrasse pas en l’accusant de climatoscepticisme!

        1. A Jacques Davier: Merci Monsieur d’avoir cité le livre de Steven Koonin. J’ai cherché une vidéo et trouvé celle de Sud Radio. Interview de M. Koonin de 40 minutes du 22 mars 2023: ttps://www.youtube.com/watch?v=QTOUP2BIt2Y

    2. Bonjour Mme Herzog,

      Saluons et remercions Mme Sandoz d’avoir créé cet espace de liberté, et nos institutions politiques qui nous permettent d’exprimer des avis divergents en faisant justement la nique à la pensée unique!

      Votre commentaire suggère que l’augmentation de CO2 serait une aubaine. Il n’y en a qu’un tout petit peu, et plus il y en a mieux les plantes se portent. Remercions le CO2.

      Mais alors comment expliquez-vous que l’Espagne ne se soit pas transformé en oasis de verdure, depuis que les activités humaines a fait doubler le CO2 dans l’atmosphère? Toutes choses égales par ailleurs, plus de CO2 = plus de photosynthèse = bénéfice pour la plante, vous avez raison. Sauf que le CO2 a également un impact sur la température et l’intensité des périodes de sécheresse, qui vient ruiner vos espoirs.

      Et d’ailleurs plus gros n’est pas forcément égal à mieux:
      « Il faut cependant noter que la qualité nutritive des récoltes diminue, d’une part à cause d’une concentration plus faible en fer et en zinc [12] et d’autre part suite à la réduction du taux de protéines. Nous avons en effet déjà mentionné les conséquences associées à la diminution de la photorespiration. Plus généralement le métabolisme azoté est affecté par l’augmentation de la concentration en CO2 du fait, entre autres, d’une assimilation réduite des nitrates [14]. »

      Ce paragraphe est tiré d’un article fort intéressant sur l’impact du changement climatique sur les plantes:
      ttps://planet-vie.ens.fr/thematiques/vegetaux/les-effets-du-changement-climatique-sur-la-croissance-des-plantes

      Annelie Holzkämper et Jürg Fuhrer, de l’Institut des sciences en durabilité agronomique de Zurich, proposent une étude sur l’impact du changement climatique sur la culture du maïs en Suisse: « Avec le changement climatique, le potentiel de rendement du maïs sur le Plateau est de plus en plus limité par le stress dû à la chaleur et par l’accélération du développe-ment phénologique. » L’étude est disponible sur le site du Département fédéral de l’économie, de la formation et de la recherche (ttps://www.agroscope.admin.ch/agroscope/fr/home/themes/production-vegetale/changement-climatique-%20production-vegetale.html).

      Nous pouvons saluer nos autorités et instituts qui prennent en considération les effets mesurés, et les effets futurs probables pour la planification et l’adaptation de nos cultures face au changement climatique, et de ne pas se fier uniquement aux vérités de Mr Gervais.

      1. A Ah bin non alors: Votre exemple concernant l’Espagne est très intéressant, car l’Espagne ne fait pas l’objet d’un climat uniforme. La partie nord est très pluvieuse et froide, même en été donc beaucoup de verdure, et la partie sud subit de grosses chaleurs et la sécheresse. Naturellement, on ne parle que de la partie sud !

        1. Est-ce que l’Espagne est plus verte depuis que la concentration en CO2 a doublé? Non. Quelle que soit le végétation moyenne de l’Espagne, l’apport de CO2 n’a pas l’effet bénéfique que l’on pourrait espérer. Plutôt l’inverse, désolé.

        2. A Ah bin non alors: Concernant l’Espagne, j’apprends qu’un phénomène nommé DANA a lieu chaque année. Il s’agit d’énormes pluies et ces derniers jours la DANA a été plus forte que d’habitude. D’où les très graves inondations actuelles. Plus d’informations ici concernant ce phénomène:
          ttps://www.rtl.fr/actu/meteo/meteo-qu-est-ce-que-le-phenomene-dana-qui-touche-l-espagne-la-grece-et-le-portugal-7900294384

  14. Ce qui est anxiogène et immodeste, c’est l’incapacité de remettre en cause un développement suicidaire. Personne ne remet en cause le réchauffement climatique, pas même les climatosceptiques. Mais ces derniers prétendent qu’il ne faut pas s’en occuper tant que l’on peut instiller le doute sur son origine. Bref, la balle qui va vous tuer ne mérite aucune attention tant que l’on a pas pu prouver que le tir est intentionnel.
    Chaque litre de benzine brûlée détruit 13m3 d’air. Et cet air appartient aussi à ceux qui ne brûlent pas de benzine. Le développement de l’automobile, avec toutes ses infrastructures (et son surpoids) est d’une grande violence. Pensez à celui qui traverse le Gothard avec son SUV pour retrouver sa résidence secondaire… une autoroute au coeur des Alpes qui sur des dizaines de kilomètres ne touche pratiquement pas le sol, passant de pont à un tunnel et de tunnel à pont en permanence. Ce modèle unique de développement avec son alinéa du toujours plus est la star des personnes dérangées.

    1. Tout ça pendant que cadors de la « climatologie », comme Bill et sa …, car il fréquentait les paradis epsteiniens, se baladent en jets privés et viennent d’être dénoncés par l’OMS d’avoir empoisonnés des millions d’enfants en Afrique et en Inde, plus de 500’000 enfants morts avec son nouveau « vaccin » contre la polio.

      Tant que cette propagande émanera de ces personnages, sera financée par ces gafaiens, aucun crédit ne pourra être accordé.

      GWASKELL, savez vous que chaque fois que le pourcentage de CO2 augmente, de très peu si nous le comparons au volume et à ses soi-disantes répercutions, que la végétation augmente de volume, en fait, plus il y aura de CO2 et plus la végétation sera luxuriante et nous sommes très loin des limites de saturation en CO2, très très loin !

      1. Exact, on sait que les forêts et l’ensemble de la végétation ont besoin de CO2 pour pouvoir produire de l’oxygène… cela s’appelle la photosynthèse … on apprend ça à l’école primaire..
        Alors, que va-t-il se passer vers 2050 quand on sera arrivé à zéro CO2 comme exigé par l’intelligence supérieure de la dictature écolo ?

        1. Affirmer des monstruosités pareilles et accuser les scientifiques de vouloir nous faire peur! Mais au secours!

          @Mme Sandoz
          Vous écrivez plus haut « c’est de déterminer la limite entre une simple opinion divergente et une expression pénalement répréhensible ». En ce sens je m’intéresserais à l’accusation qui est faite en dessus, qu’un certain Bill aurait tué un demi-million d’enfants avec un vaccin. Vous qui êtes experte des affaires juridiques pourrez mesurer à quel point c’est de la diffamation et dans quelle mesure ces propos pourraient faire l’objet de poursuites de l’auteur.

          Une rapide recherche sur internet permet d’apporter un élément de réponse:
          Art. 173 du Code pénal suisse (CP)

          1. Celui qui, en s’adressant à un tiers, aura accusé une personne ou jeté sur elle le soupçon de tenir une conduite contraire à l’honneur, ou de tout autre fait propre à porter atteinte à sa considération,

          celui qui aura propagé une telle accusation ou un tel soupçon,

          sera, sur plainte, puni d’une peine pécuniaire de 180 jours-amende au plus.

          @Marie-France
          Aidez moi svp à ne pas trouver votre commentaire ridicule, et dites nous quel hurluberlu aurait eu la fascinante idée de vouloir supprimer totalement le CO2 de l’atmosphère. Et en quoi l’écologie est une dictature. En attendant que vous repreniez vos esprits, la lecture des références que je cite en réponse à Mme Herzog pourrait vous donner quelques éléments de réponses quand au fait que la terre se désertifie malgré l’augmentation de CO2 dans l’atmosphère.

          1. Il faudra également poursuivre Reuters :

            ttps://www.reuters.com/article/uk-factcheck-gates-india-idUSKBN22V27F

          2. Pour ceux qui comprennent l’anglais et souhaite mieux comprendre qui est Bill Gates, ce documentaire retrace la vie de cette personne :

            ttps://www.youtube.com/watch?v=TY-vLrz9XCc&t=110s

          3. Evidemment vous avez raison, je n’aurais dû ne parler que des émissions nettes bien sûr.. Mais prétendre arriver à zéro de ces émissions , cela veut dire arrêter toute activité humaine, revenir à l’âge de pierre…à l’homme cueilleur -chasseur.
            Quant à la désertification, la planète n’a pas eu besoin de l’activité humaine pour créer des zones désertiques … Ainsi le désert du Sahara : »Il y a 15000 ans il a connu une période verdoyante provoquée par une brève phase de réchauffement qui avait accentué les phénomènes d’évaporation au-dessus de l’océan et poussé les moussons jusqu’au cœur du continent nord-africain. Les paysages arides actuels étaient alors couverts de lacs, d’étangs et de végétation. Il y avait des éléphants, des hippopotames, des crocodiles, des hommes aussi, comme l’attestent les peintures rupestres. Si les climatologues s’accordent sur le fait que cette période humide épisodique a pris fin il y a un peu moins de 6 000 ans, en revanche, le processus de désertification qui a suivi reste très mal connu. » Je crois savoir qu’il y a 6000 ans il n’y avait pas d’activité pétrolifère ni gazière..
            Vous pouvez aussi vous informer sur le « Désert des baleines » en Egypte…
            Aute chose, j’ai parlé sur un autre message de l’activité solaire… il parait que ça n’a aucune incidence sur le climat.. pourtant le soleil est bel et bien une source de chaleur plus ou moins importante selon les explosions solaires plus ou moins intenses !
            Pourquoi aussi ne parle-.t-on pas de l’impact des volcans ? , et il sont nombreux ! Oui, je sais les éruptions refroissent l’atmosphère à cause su soufre … mais temporairement , par contre ils émettent beaucoup de gaz à effet de serre , de CO2, particules fines cause des pluies acides *…. sans parler des volcans sous-marin qui contribuent au réchauffement des océans , des tremblements de terre …. Mais non, tout ça balayé, aucun scientifique risquant une telle approche n’est invité sur un plateau TV ou dans la presse écrite… comme pour le vaccin covid !
            * Dans les années 70/80 on nous prédisait l’apocalypse : en l’an 2000 les forêts auront disparu à cause des pluies acides provoquées par l’activité humaine… Sans parler aussi du « trou dans la couche d’ozone » qui s’est refermé grace nous dit-on à l’interdiction des aérosols.. Faut arrêter de « prendre les enfants du bon Dieu pour des canards sauvages  » !!

        2. Ne vous en faites pas Marie-France, ils savent que leur propagande climat va se casser la figure, c’est pour ça que les budgets propagandes sont maintenant dirigés sur les extra-terrestres !

          1. Conclusion de l’article de Reuters que vous citez:
            VERDICT
            False. Bill Gates is not facing trial in India for an illegal vaccination study.
            Vous accusez Bill Gates d’avoir assassiné 500’000 enfants et présentez un article qui dit le contraire pour vous justifier. Vous êtes irresponsable.

          2. Ah bon, Bill fondation n’aurait pas été condamné par des tribunaux en Inde ?

            Evidemment que Reuters tente d’esquiver les condamnations contre la Bill et Melinda Gates Fondation, mais que dit cet article plus ressent ??

            https://www.indiatoday.in/law/story/bill-gates-serum-institute-of-india-bombay-high-court-notice-death-due-to-covishiled-vaccine-1995801-2022-09-02

            Ainsi que des milliers de procès engagés dans ce grand pays !

            Certes, après 3 ans, Modï a finit par casser l’interdiction d’entrée de Bill sur le territoire indien et ce criminel a réussi avec ses milliards d’étouffer ce scandale, mais il n’opère plus avec ses pseudo vaccins sur l’ensemble du pays et nous pourrions aussi débattre sur le rôle de cette entreprise eugéniste sur le continent africain !

            https://digitalcommons.law.ggu.edu/cgi/viewcontent.cgi?article=1205&context=annlsurvey

  15. Gratitude, avec mes cordiaux messages de La Chaux-de-Fonds — Restez droit dans la tempête ; pourquoi, comment ? cf. :
    ttps://blogs.mediapart.fr/etienne-trouvers/blog/010823/malediction-du-vert-sapin

  16. N’étant pas climatologue, j’utilise différents moyens pour m’informer et ne pas subir la pensée unique.
    Les explications de M. Christian Gerondeau sont très intéressantes. Voilà la vidéo de 47 minutes datant du 7.4.2022 : ttps://www.youtube.com/watch?v=0nS0P2fv7sE

  17. Voilà une seconde vidéo de M. François Gervais de 43 minutes : ttps://www.dailymotion.com/video/x8bqe51
    On apprend que la lutte contre le climat va générer des montants astronomiques de 150’000 milliards de dollars !
    Et cette somme exorbitante va forcément profiter à certaines personnes qui vont donc continuer à faire peur à la population. Pourquoi cette question financière portant sur des montants astronomiques est-elle occultée ?

    1. Et il ne vous est pas venue à l’esprit que l’inaction pourrait coûter encore bien plus?

      Puissiez-vous prêter autant de scepticisme à ces deux manipulateurs de données que vous le faites envers le Giec. Leurs arguments pour crédules sont truffés de manipulations, contre-vérités, illogismes. Leurs théories ne valent pas un clou:

      ttps://m.youtube.com/watch?v=XGq4WRTLfvc&pp=ygUObGUgcsOpdmVpbGxldXI%3D

      1. AH BIN NON ALORS,

        Vous écrivez :
        « Leurs arguments pour crédules sont truffés de manipulations, contre-vérités, illogismes. Leurs théories ne valent pas un clou »

        Un peu plus haut, vous avez invoqué à l’art. 173 du Code pénal suisse (CP) concernant la diffamation.

        Auriez-vous l’amabilité d’étayer vos propos insultants par au moins deux ou trois arguments écrits?

      2. Et qu’est-ce que vous répondez aux arguments des scientifiques qui disent que la transition énergétique qu’on nous vend, qu’on nous promet pour dans 15 ans (et qu’on a voté) n’aura pas lieu ?

        ttps://www.youtube.com/watch?v=mMQwdUxF_bQ

      3. Oui, il faut agir d’urgence pour sauver notre pauvre planète. D’ailleurs, j’ai pris une petite électrique et c’est super pour se garer. Mais c’est un peu petit pour les gros achats alors j’ai commandé les meubles de jardin sur internet, c’est du bois écologique qui vient d’Asie (j’ai vérifié il y a un tampon spécial !). ça devait venir d’Espagne mais le camion avait de drôles de plaques et le chauffeur ne parlait pas espagnol ni français.

        Mais je suis rassurée car sur l’emballage, le transporteur indique qu’il est « CO2 neutral », c’est génial avec son gros diesel. Si j’avais su que je pouvais rester écolo en gardant mon ancien diesel, je l’aurais fait. Je vais leur demander quel réglage ils ont activé.

        Bon, je dois vous laisses car je n’ai plus d’eau chaude et il a fait frisquet ces derniers jour. C’est la pompe à chaleur qui a un problème et je dois rappeler l’installateur: il pense que ça pourrait être le compresseur (je n’y connaît rien) mais il n’en a pas en stock, il m’a dit que ça pourrait durer quelques mois. Alors il m’a parlé de passer l’installation en chauffage électrique ? J’espère que c’est écolo au moins.

        Allez bonne journée et croisons les doigts pour la planète !

        1. Ah!Ah! J’ai aussi une anecdote qui relève de la même problématique , le climat, l’économie d’énergie ….Tout récemment , j’étais dans une grande surface pour trouver un bon melon charentais .. j’en choisi un . Sur l’étiquette indiquant le prix, je pouvais lire : « provenance , voir emballage ».. Je me penche donc sur le coté du cageot où était agrafé l’information : « Producteur , emballeur : La Roche Clermault ( une commune du Val de Loire ( France) ; Exportateur: Verona ( Italia) Alifresca (italy) SRL Via Montebaldo…
          J’ai donc été voir sur mon ordi : Alifresca est une filière de cette grande surface et Montebaldo ..un massif alpin italien près du lac de Garde. J’en ai conclu que mon melon était parti depuis la France -Val de Loire ( centre/Nord /Ouest) pour se retrouver à Verone (-par où est-il passé ? Par le sud de la France évitant la Suisse et les Alpes?! et pour y faire quoi puisqu’il était déjà emballé?)- et qui est reparti pour la Suisse ..via Montebaldo.. Effectivement, c’est le bon trajet Mais pourquoi ce grand voyage ? Il s’était bien promené avant d’arriver à sa destination. J’avoue ne pas très bien comprendre. Par contre je comprends pourquoi certains fruits ou légumes qui voyagent à travers l’Europe ne soit pas au top du goût qu’ils doivent avoir peu après la cueillette.. ils sont stockés trop longtemps dans les frigos.. Et je comprends aussi les prix élevés de ces produits qui se promènent d’un pays à l’autre .

  18. Pour la journaliste belge, Mme Senta Depuydt, très bien informée, le plan mondial touche tous les domaines importants tels que la santé (vaccination mondiale), le passeport vaccinal, le nouveau traité de l’OMS, le climat, la monnaie, etc. Très intéressant. Voilà la vidéo : ttps://www.covidhub.ch/securite-sanitaire-outil-controle/
    Je comprends que les personnes qui tirent les ficelles essaient de faire peur à la population dans de nombreux domaines en interdisant tout débat. Heureusement de plus en plus de citoyens prennent conscience de cela.
    Exemple: Les pays africains, l’Inde et récemment les Etats-Unis s’opposent au nouveau traité de l’OMS.
    L’état d’urgent est ensuite utilisé pour faire passer des lois de façon autoritaire !

    1. Correction: L’état d’urgence est ensuite utilisé pour faire passer des lois de façon autoritaire, qui seront imposées aux citoyens dans tous les pays. Pour cela, il suffira que l’OMS décrète une nouvelle pandémie ou une urgence climatique.

  19. @AH BIN NON ALORS 5 août 2023 à 20h10
    Dans votre réponse à Régis, vous nous donnez le lien d’e 2 vidéos dans lesquelles « un scientifique qui discute les arguments de Mr Gervais.  » Curieusement on ignore totalement qui est ce « scientifique », quel est son nom, dans quelle université a-t-il fait ses études . Qu’est-ce qui nous prouve ses diplômes dont il fait étalage ?

    1. Effectivement, ce n’est pas comme ces « scientifiques » qui violent systématiquement leurs obligations en signant des contrats avec des multinationales en totale couverture de la presse et des politiques, comme dans le cas de celle qui a été parachutée présidente de la communauté européenne pendant que son mari et lui aussi parachuté directeur dans une filiale en contrat avec pfizer 2 mois après l’opération « vaccin » arn messager !

      Trouvez moi un seul scientifique ou médecin de plateau tv pendant l’affaire covid qui ne soit pas en conflit d’intérêt avec une multinationale de la pharma ?

  20. @ AH BIN NON ALORS

    Effectivement, ce n’est pas comme ces « scientifiques » qui violent systématiquement leurs obligations en signant des contrats avec des multinationales en totale couverture de la presse et des politiques, comme dans le cas de celle qui a été parachutée présidente de la communauté européenne pendant que son mari et lui aussi parachuté directeur dans une filiale en contrat avec pfizer 2 mois après l’opération « vaccin » arn messager !

    Trouvez moi un seul scientifique ou médecin de plateau tv pendant l’affaire covid qui ne soit pas en conflit d’intérêt avec une multinationale de la pharma ?

    Une question, pourquoi venez vous sur ce blog, vous avez déjà 99% de la presse du deep state avec vous ?

  21. Une éolienne « moyenne » demande, rien qu’en cuivre plus de 16 tonnes de ce métal !

    Pour obtenir 1 kg de cuivre, il ne faut pas moins de 40 à 90 tonnes d’eau rien que pour extraire le minerai présent en moyenne à des taux de 0,5% dans le sol, bien sûr, le minerai de cuivre va nécessité d’autres traitements aquavores ultérieurs pour pouvoir être finalisé dans les industries. Sans parler du désastre de l’écosystème de la région de Cachapoal au Chili situé à quelques dizaines de kilomètres de la capitale Santiago, où pratiquement toutes les ressources en eau des nappes phréatiques de cette région est sinistrée pour les besoins des bobos des beaux quartiers de ce monde devenu un modèle en matière de vertitude !

    Cependant, le cuivre nécessite beaucoup moins d’eau que le lithium, cobalt, néodyme et tant d’autres « terres rares » indispensable à cette transition « écologique » cela tant pour les éoliennes que pour les batteries, pour exemple, 90% du cobalt extrait dans le centre de l’Afrique fait l’objet d’un esclavagisme infantile, ces enfants ont les mains en sang du matin jusqu’au soir alors qu’ils infectent pendant la nuit.

    Résultat, des personnes totalement inconscientes viennent nous faire la morale lorsque quelqu’un a le toupet de rouler avec un véhicule thermiques ou que l’on ne ferme pas son robinet entre le lavage et le rinçage pendant que l’on prend une douche ou que l’on se lave les mains !

    Exactement comme les curés faisaient la morale aux couples adultères alors qu’ils violaient des petits enfants !

  22. Encore Bill Gates :

    Aux Etats-Unis sévit une maladie : l’allergie à la viande rouge. Elle est transmise par les tiques ? Et quel psychopathe se cache derrière ?

    Cette maladie s’appelle le syndrome alpha-gal qui est un important problème de santé publique émergent, avec des effets potentiellement graves sur la santé qui peuvent durer toute la vie pour certains patients.

    ttps://americanfaith.com/bill-gates-funded-research-into-genetically-engineered-cattle-ticks-now-450000-americans-have-red-meat-allergies-from-alpha-gal-syndrome-caused-by-tick-bites/

  23. Les titres de la presse s’enchaînent dans une incohérence qui ne choque même plus:
    « Froid, chaud, gros orages: la météo est-elle anormale? », « Voici où la Terre sera bientôt inhabitable »

    … comment gérer la communication durant deux semaines de froid durant la période estivale !

    « La canicule se renforce sur le bassin lémanique », « 7 conseils pour bien dormir durant les nuits tropicales », « La Suisse sous un dôme de chaleur dès vendredi, jusqu’à 37 degrés possibles »

    … ou comment exploiter de retour tardif de températures estivales !

    « Fin de saison pour les piscines de quartier lausannoises malgré la canicule », « Une rentrée sous le signe de la canicule »

    … ou comment utiliser n’importe quel sujet pour parler du climat !

    « Dix degrés en moins ce week-end, quels effets sur notre mental ? »

    … ou comment ne pas admettre que l’on s’est complètement planté dans les prévisions !

    Un article diffère toutefois dans RTS: « Les températures pourraient être exceptionnellement élevées durant l’année qui vient ».

    Une experte nous explique que les gaz à effets de serre ont déjà réchauffé le climat mais… que de nombreux autres facteurs vont s’y ajouter: cycle du soleil, El Nino et l’activité volcanique.

    Quand aux facteurs humains, la diminution de la pollution pourrait avoir un effet néfaste en diminuant la reflexion des rayons solaires ! (c’est un comble ? je trouve cela plutôt comique).

    Bref, l’article conclut que de nombreux évènements imprévus pourraient bouleverser la donne tant ce sujet est complexe.

    Cette chercheuse réussi ainsi le tour de force de dire la même chose qe certains climato-sceptiques sur ce forum … sans passer pour complotiste !

    Ou alors, cela signifie que le fait de manger de la viande synthétique ne vous préservera pas d’autres mesures en fonction de la situation.

    1. Entièrement d’accord avec vous. Les médias décident ce qui est complotiste et ce qui ne l’est pas. Cela fait penser à ces résistants de la 25ème heure à la fin de la guerre, comme Jean-Paul Sartre sur un air: « je vous l’avais toujours dit que j’étais un grand résistant. » Il suffit de traduire résistant par sceptique.
      Il existe plusieurs impondérables majeurs, tant au niveau de la robustesse des mesures météorologiques, de la paléoclimatilogie, qu’au niveau de la théorie scientifique elle-même.

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