Enfance volée

Enfance volée

Lecture publique pour enfants dès 6 ans par des drag-queens, incitation, à l’école déjà, à changer de sexe, dès 9 ou 10 ans, sans forcément avertir les parents, cours d’éducation sexuelle à l’occasion desquels sont enseignés tous les termes « scientifiques » de l’anatomie intime et de l’usage que l’on peut en faire, apprentissage dès 9 ans du principe « un oui est un oui », conscientisation des problèmes de biodiversité, d’énergie, culpabilisation notamment des parents et grands-parents, etc…, etc… Les enfants sont plongés, dès leur plus jeune âge, dans un monde de déséquilibre et de problèmes, afin d’être « conscientisés » et sensibilisés à ce que l’air du temps – moralisateur – considère comme « le » bien !

On a même tenté, à un moment de la pandémie, d’inciter les très jeunes adolescents à se faire vacciner sans ou contre l’avis de leurs parents, et à l’école, prétextant qu’ils avaient le discernement nécessaire. Les adultes reconnaissent volontiers le discernement aux enfants quand cela les arrange pour se décharger, eux, d’une responsabilité.

Mesure-t-on assez la pression que toutes ces « bonnes intentions » font peser sur des gosses, à un âge où ils découvrent le monde, où ils quittent le cocon familial – quand ils ont la chance d’en avoir un – pour découvrir la vie sociale ? Mesure-t-on la déstabilisation que peut causer cette avalanche de critiques, de questionnements, de condamnations de ce qui a existé jusqu’à eux ? Mesure-t-on la lâcheté que représente cette intoxication, facilitée par les réseaux sociaux, d’enfants qui n’ont pas encore reçu les moyens de former leur esprit critique pour rester libres de leurs décisions et de leurs appréciations ?

Y aurait-il un lien entre cette enfance volée et les violences gratuites de ces derniers jours, en Suisse ou ailleurs, une mort malheureuse n’étant qu’un prétexte servi par des adultes?

 

 

33 réponses à “Enfance volée”

  1. Désarmant, désolant!…. Mais concrètement, que pouvons-nous faire en tant qu’aînés (sans petits-enfants!)?

  2. Je pense en effet que depuis quelques années, les enfants ne sont plus autorisé à vivre pleinement leur enfance. En effet, certains adultes leur volent leur enfance et par là même, leur innocence et leur droit à la tranquillité d’esprit. C’est frappant de constater que même les discours de certains psychologues, pédiatres ou pédo psychiatres ont drastiquement changé ces dernière années. Comme beaucoup de parents, j’ai lu avec attention, les Dr. Donald Winnicot, Thomas Brazelton ou encore Françoise Dolto. Nous ne partagions pas forcément toutes leurs analyses mais ils avaient en commun de vouloir protéger les enfants et considéraient que le temps de l’enfance était très formateur pour leur développement. Hélas, nous avons fait un virage à 180° puisque le discours ambiant consiste à demander aux enfants, de porter sur leurs frêles épaules de trop lourdes responsabilités et comme vous le dites si bien Madame, c’est déstabilisant. Ce n’est plus le bien-être de l’enfant qui compte mais bien celui des parents.

    1. Protéger les enfants ne veut pas dire les mettre dans un cocon à l’abri de toute responsabilité. En les déresponsabilisant on en fait des enfants-rois qui découvrent à l’âge adulte que leurs actes ont des conséquences qui doivent être assumées par eux-mêmes et pas par la société.

      1. @JEAN-PIERRE HIRSCHI
        Personne ne dit cela. Bien entendu, il ne s’agit pas de mettre les enfants dans un cocon. Non, il s’agit de ne pas leur faire porter de trop lourdes responsabilités dès leur plus tendre enfance comme par exemple, le problème du dérèglement climatique. Les enseignants ou les parents ne devraient pas devancer leur questionnement. J’entendais ce matin sur la RTS une journaliste qui interviewait un psychiatre et ce dernier semblait être très inquiet face à l’augmentation des consultations psychiatriques de jeunes enfants ou adolescents très angoissés par le changement climatique. Dès lors, on peut décemment se demander si parfois les journalistes, certains enseignants et certains parents ne communiquent pas aux enfants, leur propre angoisse qu’ils sont incapables de gérer tant ils manquent de maturité. Je pousse ici un cri du coeur et je dis à tout en chacun, foutons la paix à nos enfants, ne leur volons pas le temps de leur enfance !

  3. Cette destruction culturelle généralisée, ne peut pas être le fruit du hasard ou être générée spontanément à partir du néant. C’est impossible. Il suffit d’ouvrir son esprit et de réfléchir pour comprendre d’où vient cette folie destructrice qui s’en prend sournoisement à la raison et au bon sens.

  4. Est-ce le rôle de l’école de « formater » ainsi les enfants ? Les parents n’ont-ils pas leur mot à dire? Voire même à la révolte et menacer de ne plus envoyer leur enfant à l’école tant que celle-ci n’aura pas abandonné son idéologie « formatrice  » ? Parce que oui, je trouve cela révoltant …
    Si les enfants n’appartiennent pas à leurs parents , comme je l’ai entendu dire par un enseignant « branché » il y a quelques années, ils n’appartiennent pas plus à l ‘Instruction Publique, aux enseignants ou à l’Etat !!!
    Il y a déjà eu le problème de la pédophilie dans les années 70/80 où certaines presses publiaient des articles signés par des politiciens, des « artistes » , des soixanhuitards, demandant la légalisation de la pédophilie. On constate , 3 décennies plus tard , les ravages de cette idéologie monstrueuse…
    Faudra-t-il attendre autant d’années pour constater les mêmes ravages provoqués par cette « nouvelle éducation sexuelle ». REVOLTANT !

  5. Je serais curieux de savoir quelle proportion de l’information que reçoivent les enfants provient de l’école. Il y a un demi-siècle, ce devait être 40%. À quoi s’ajoutaient 40% provenant des parents et 20% de l’église (à la louche). Aujourd’hui, les trois ensemble ne sont vraisemblablement plus en mesure de concurrencer les sources d’informations numériques, potentiellement anxiogènes, auxquelles les enfants ont inévitablement accès.
    Peut-être faut-il admettre que, dans ces conditions, l’école est obligée de s’impliquer dans ces problématiques, sauf à livrer nos chers bambins sans défense à toutes les inepties qui fleurissent sur internet.

    1. Vous abordez un problème extrêmement préoccupant: comment former l’esprit critique de nos bambins pour qu’ils gardent leur liberté face aux « inepties qui fleurissent sur internet »?

  6. Professeure, quel plaisir de vous lire à nouveau…..

    Vous avez totalement raison ! L’enfance devrait être protégée de ces dérives visant à un contrôle total des individus (via des sujets hors du cadre « enfance »), un bâillonnement sociétal et un « formatage » programmés pour débuter le plus tôt possible dans la vie.

    En fait, encore au jour d’aujourd’hui, je suis ravie d’avoir échappé, déjà à l’époque, à divers cours obligatoires d’endoctrinement, premièrement les cours de relipette et, secondement, les cours de « sexualité ».
    Troisièmement et accessoirement aux cours de gymnastique & sports divers. (NB aux critiques: des exemptions précoces peuvent être très utiles pour protéger la période « enfance »).

    Très tard (= 16 ans), j’étais encore parfaitement ignorante sur certains sujets féminins et finalement j’en retire un grand bénéfice. Chaque chose en son temps.
    Le formatage programmé par les écoles vaudoises est donc resté « lettre morte » dans mes choix & goûts & couleurs comme femme adulte. eab

  7. La notion d’équilibre est particulièrement difficile à discerner. Bien sûr, vouloir faire éduquer les enfants par une drag-queen est particulièrement décalé, ces personnes n’étant pas représentative d’une réalité accessible à ces enfants. Parler anatomie et sexualité, pourquoi pas… reste à trouver le bon moyen. La curiosité n’attend pas le nombre des années. Je crains plutôt autre chose: il existe un mouvement vindicatif de personne qui veulent être reconnue pour leur penchant et pratiques sexuelles. Le public est lassé de ce tapage. A défaut de pouvoir occuper une presse moribonde, je crains qu’il ne cherche à avoir de l’influence dans les écoles avec un discours décalé. Moins il y a de liberté, plus il y a d’école. Faut-il vraiment que l’école cherche à palier le manque d’opportunité de découvrir par soi-même?

  8. Me Sandoz,

    Je dois dire combien il est agréable et salutaire de lire la cohérence de vos propos sur des sujets si importants dans un monde qui prône l’inversion des valeurs de toutes parts.
    Mille merci à vous !

    A l’heure où dans une société complètement sous perfusion d’inepsies les plus folles, il est grand temps de retrouver nos esprits et consciences. Mais également cet esprit critique qui – grâce aux injonctions massives du politique – est aux abonnées absentes. Sans celui-ci il est quasi impossible de comprendre ce qui nous entoure, faire un choix à la lumière d’éléments factuels et ensuite peser le pour et le contre.
    Qui, plus que les enfants, ont besoin qu’on les éduque en ce sens, afin de les armer pour ce monde d’adultes qui est un véritable cirque aux lions.

    Seul un retour aux sources, et à ses valeurs, pourra amener l’ensemble d’une société vers une humanité plus équilibrée et consciente d’elle-même. Ainsi arrêter cette folie de vouloir tout normer et stopper cette course absurde au risque zéro d’une surprotection contre-productive !

  9. Là, nous entrons dans, ce qui n’avait jamais été atteint. Oui, il y avait la castration des eunuques esclaves utilisés pour différentes tâches, mais ces pratiques sont maintenant interdites ! Interdites, dites vous ?

    Ben, pas vraiment, ces enfants voués à ces monstrueuses transformations dignes du malheureusement célèbre mengele, médecin de surcroit, ne sont rien d’autre que des castrations servies sur l’hôtel de la pire des décadence projetée par des psychopathes endurcis. Ces enfants, pour plus de 85%, n’auront plus aucune sensation de plaisir sexuel, ils ne seront, rien de moins que des eunuques recouverts de transformations « esthétiques », uniquement « esthétiques ». Incapables de jouir sexuellement et incapable de donner la vie et cela à grande échelle !

    Et l’ensemble de la société, dite civilisée, observe ce fléau, de manière totalement passive, c’est ça le pire !

  10. D’accord avec vous Christian REY!
    C’est de l’ingénierie sociale.
    La préparation du terreau pour sa fertilité, pour avoir un dense réseau populaire de marqueurs, a lieu depuis trente ans, Cette préparation s’est incessamment poursuivie et affinée. Aujourd’hui nous en découvrons les révélations (sans surprise). Covid a démontré que le maillage est suffisamment serré et autoritaire (avec la complicité des autorités élues) pour que les différentes aberrations déstabilisantes soient acceptées comme un bien éducationnel. Comme un bien fondamental. Nous nous trouvons expulsé de nos propres corps: déstabilisation assurée!!!
    A la bande de psychopathes mondialistes de disposer librement de nos sacs de chair humaine. Il n’y a plus aucune protection d’aucune sorte ni pour les adultes ni pour les enfants. Ils ont empoisonné notre air, notre eau, notre nourriture, notre sang. Maintenant ils empoisonnent notre cerveau.

    1. Marlène, c’est aussi peut être une succession ininterrompue d’une sorte de culture qui depuis bien longtemps inverse systématiquement certains repères, cette fois avec des outils avancés. Il suffit d’observer les chaos organisés suite à l’invention de Gutenberg. Les pouvoirs s’accaparent des révolutions technologiques et les « testent » avant que d’autres puissent éventuellement le faire.

      Nous le voyons, les pouvoirs sont également déstabilisés par les nouvelles technologiques, ne soyons pas autant pessimistes, certes ils ont entamés un coup de force avec cette dystopie du covid, en fait, ils ont également montrés leur niveau de faiblesse dans ce coup d’état aux allures médicales. Désormais, ils le savent, ils ont un concurrent de taille avec le consensus de plus en plus nombreux de citoyens de plus en plus déterminés et convaincus !

      1. Corto,
        Le Transgendérisme fait encore partie du Programme d’Environnement Social et de Gouvernance (ESG). Je pense, plus pour longtemps.

        Sans plaisanterie: on devrait demander à cette même ONU d’abolir sa Journée des Droits de ‘Enfant, qui convie et rassemble chaque année, tout le gratin dominant et les serviteurs de toutes les Républiques.

        Après l’abolition symbolique de l’esclavagisme d’enfants au travail.
        Aujourd’hui, il faudra abolir factuellement l’esclavage et leur carcération dans un corps qui ne sera pas le leur.

        Plus sérieusement, suggérer à l’ONU de se prononcer contre le viol de son intégrité physique, psychique et sexuelle et de dénoncer ces dérives, pour une Protection véritable de ses droits.

        Moi aussi, je crois que nous serons toujours plus nombreux à découvrir le Pot Aux Roses toxiques, mais quand même, je pense qu’on est trop peu nombreux par rapport à la vitesse avec laquelle on déplace les masses de gens en léthargie au lieu que ce soit la mobilité et la vélocité cérébrales des gens à redresser (guider les pouvoirs psychopathiques mis en place.

        Mais ceux qui défendent vraiment leurs intérêts, savent les opportunités à saisir (comme le programme ESG) car ils savent aussi, les bons moments où il faut s’en dégager: Les grandes industries nationales et les multinationales géantes ne s’embarrassent guère de l’opinion de leur fidèle public. Il quittent le banquet lorsqu’ils ne sont plus les maîtres de la cérémonie ou s’il y a des rivaux trop puissants.

        Cet article donne, en quelque sorte, l’épilogue au programme artificiel de « Woke ». Et, dans cette perspective de sauver les meubles, le transgenderisme sera abandonné comme le climat. Plus tôt que tard. A moins que les biopharmas ne le maintiennent, coûte que coûte en vie, pour continuer de tirer profits de leurs saletés bio-chimiques d’hormones (après les animaux qui passent maintenant à l’ARNm). Et aux cliniques de chirurgie, de se dépêcher de charcuter tant qu’il y a d’inconscients à vouloir se mutiler.

        Le vent va tourner, grâce à ces mêmes multinationales qui avaient permis ces avalanches d’évènements « Woke », toutes soutenues par l’enthousiasme des jeunes générations se dégonfleront. Cela aura été pour elles, un « Magical & mystery Tour » en Carousel (The Beatles) dopées aux psychotropes des chimères et aux hallucinogènes des rêves chaotiques.

        De contre coups et de déceptions, ces jeunes générations entreront pendant une longue période dans un état d’aphadolie, déconnectées de tout, étrangères à toute référence, elles seront incapables d’être autonomes. Elles auront « perdu la boule ». Il faudra donc les soigner. En psychiatrie! En Chamanisme. Car ce qu’elles auront vécu ressemble beaucoup au conditionnement des sectes comme l’OTS. Oui! Nos philanthropes multimilliardaires réutilisent leurs vieilles recettes des religions artificielles concoctées avec la CIA des années après WW2 pour nous neutraliser dans la béatitude des idiots.

        La guerre contre les Européens continue (raison d’état) sous des formes sociétales et morales! Ne tombons pas des nus. Les Rockfeller connaissent tout ça. La Dynastie possède un busyness historique florissant avec ce genre d’outils et dans ce domaine, ils restent fidèles avec le temps, toujours actifs avec une idéologie très prégnante d’eugéniste.

        Ce qu’il se passe aujourd’hui, ne doit nullement nous surprendre, Mais préparons nous à l’aterrisage des victimes de ces escroqueries.

        ttps://www.globalresearch.ca/why-big-capital-ditching-esg-agenda/5825567

    2. C’est vrai qu’il y a eu des approximations et des erreurs dans cette campagne de vaccination contre la pandémie de SARS-CoV-2. Nos autorités ont probablement surévalués les risques pour les jeunes et les personnes en bonne santé, voyant que de nombreuses personnes âgées et vulnérables succombaient au virus.

      Il est facile après coup de montrer du doigt les défaillances et d’accuser d’incompétence les gouvernements (dépassés en l’occurrence), mais de là à voir un complot mondial pour empoisonner sciemment les individus, il y a un pas qu’une personne objective ne devrait pas franchir. Ne pensez-vous pas que ce genre de propos représente un danger pour la stabilité de nos démocraties ?

      1. Je vous trouve bien tolérant envers ceux qui ont géré ce cirque.

        Jamais de telles mesures de privation de liberté n’avaient été instaurées. Interdiction de dire adieu à une mère mourante et d’organiser dignement son enterrement, des jeunes ont abandonné leurs études, les faillites et la pauvreté ont explosé, …

        La société a été divisée, la haine de celui qui ne pense pas comme il faut a été encouragée par la presse et les politiciens qui s’exprimaient en traitant de criminels ceux qui doutaient. La censure et l’inquisition ont fait leur grand retour.

        Ceux qui pilotaient cette politique étaient des experts scientifiques renommés, ils parlaient avec certitude sur la base de chiffres et d’études incontestables. Mais même un enfant à l’école primaire n’aurait pas acheté dix doses de vaccin par habitant…

        Etre « dépassé », c’est mettre plus de 2 ans pour réaliser que cette maladie était surtout dangereuse pour les personnes âgées et, qu’une fois ce groupe protégé des formes graves, il fallait s’arrêter là ?

        Ce que cette crise a démontré, c’est l’absence totale de contre-pouvoirs et les conflits d’intérêts. C’est la faillite des experts et de la régulation. Et ce qui est vraiment dangereux pour nos démocraties, c’est que les vrais experts qui nous prévenaient que nous faisions fausse route ont été muselés. La technique de l’estampillage « complotiste » est assez redoutable surtout lorsqu’elle est amplifiée par la presse.

        Cette gestion, c’est la plus grande faillite du monde moderne et, sans remise en question, on est en train de répéter les même erreurs dans divers domaines.

        Pour en revenir au sujet, les enfants ont particulièrement souffert de nos errements durant cette période. Certain ne s’en remettront pas. Alors plutôt que dédouanner nos autorités, il serait peut-être approprié de s’occuper de la santé mentale des tout-petits en leur permettant de vivre leur enfance sans leur empoisonner le cerveau.

        1. La tolérance est, en effet, ce qui distingue une démocratie comme la Suisse d’une dictature et qui vous permet d’exprimer votre avis, sans risquer d’être censuré, de vous retrouver en prison, ou pire encore.

          Néanmoins, la liberté d’expression ne donne pas le droit de dire et surtout de faire n’importe quoi et de mettre en danger, par une attitude irresponsable, cette même démocratie. 
          Parmi ces attitudes dommageables, il y a notamment celles de répandre de fausses rumeurs, de nier les faits (comme l’existence d’une pandémie) et de se prononcer, …, hors de son domaine de compétence, sur des sujets importants, voire vitaux.

          1. Vous êtes mal renseigné: la censure est désormais effective sur divers sujets dans les pays « démocratiques ». Elle sera effective fin Août dans l’UE. Aux USA, des faits avérés exprimés par des spécialistes ont déjà été censurés (Twitter files)

            La liberté d’expression a comme limite la propagation de la haine, l’insulte, le racisme et la discrimination. Sinon. l’Etat n’a pas à intervenir: le lecteur est libre et doit exercer son esprit critique. L’expression d’une opinion, d’un ressenti ou d’un vécu ne doit pas être censuré même si cela dérange.

            L’éducation, la transparence et le dialogue sont les seules solutions. Car il n’y a pas de vérité absolue, tout dépend du référentiel.

            Ainsi, si une contre-vérité est apparue dans un commentaire, je serai enchanté que vous apportiez un complément d’information. Nous pourrons alors construire quelque chose.

            L’auto-satisfaction n’a jamais été le chemin de l’excellence: nos échecs sont souvent de meilleures opportunités d’apprentissage que nos succès. La gestion de cette crise a été plus que médiocre et il est temps d’en tirer les leçons,

            Mais fermons cette parenthèse pour revenir au sujet de ce blog à savoir une enfance malmenée par des adultes qui projettent leur propres problèmes. Notre rôle était de les préserver à tout prix et nous avons échoué lamentablement. Certains faisaient des cauchemars en pensant qu’ils allaient tuer mémé.

            Une civilisation qui ne sait pas préserver ses enfants et sa jeunesse n’a aucun avenir mais nous n’avons pas hésité à les sacrifier pour rien. Nous allons le payer cher.

            Mais puisque vous êtes un expert, je serai extrêmement reconnaissant de connaître les études et les données qui ont été à la base de telles mesure envers les plus jeunes.

        2. Si l’on suit votre raisonnement, il ne fallait pas prendre de mesures sanitaires contre la pandémie pour éviter que les enfants fassent des   cauchemars en croyant « qu’ils allaient tuer mémé ». Un traumatisme qui, à vous lire, devrait leur laisser des séquelles à vie. 

          Ne croyez-vous pas que c’est un peu pousser cette même mémé dans les orties que de tirer de telles conclusions qui, si je ne fais erreur, ne reposent sur aucun constat, ni étude sérieuse ? 

          Je ne vois pas comment les enfants auxquels on explique pourquoi l’on prend des mesures provisoires pour sauvegarder la santé publique subissent une « maltraitance ». Elle me semble même moins de nature à les perturber que les histoires d’ogre qu’on leur raconte depuis des lustres ou que les menaces d’aller en enfer auxquels ils doivent faire face s’ils continuent de faire pipi au lit (ou pour toute autre raison).

          Votre préoccupation pour la santé des enfants est certes louable, mais j’ai l’impression, d’une part, que vous vous servez d’eux pour faire passer votre message et que vous sous-estimez par ailleurs leurs capacités de résilience.  Ce qui ne veut bien sûr pas dire que la maltraitance qu’ils subissent, la plupart du temps pour leur bien, au sein même de leur famille, doit être occultée.  Bien au contraire, et ceci est un autre débat (bien plus important) qui mériterait, par respect de la dignité de ces mêmes enfants, d’être engagé dans de nombreux pays qui autorisent encore les vexations et autres châtiments corporels à leur encontre. 

          1. Je constate qu’en plus de déformer mes propos (je n’ai jamais dit qu’il fallait prendre aucune mesure), vous n’apportez aucun élément tangible ni chiffré qui infirme le mien malgré mon invitation au partage d’informations.

            Dire qu’il fallait vacciner les enfants pour sortir de cette pandémie était faux, leur interdire l’accès aux classes non plus, les priver de contacts avec leur camarades et leur famille aussi. Sans parler du sport et des activités artistiques, de l’ambiance à la maison avec le télétravail, etc

            En fait, vu leur profil de risque, aucune mesure n’aurait dû leur être appliqués. Dans de nombreux pays qui n’appliquaient aucune mesures, ceux-ci ont attrapé la maladie et développé une immunité très rapidement sans mettre le reste de la population en danger.

            Contrairement à vos affirmations, les conséquences de cette gestion de cette crise sont majeures et durables pour les enfants et les jeunes (vie sociale, éducation, santé mentale et physique). Les enfants sont très sensibles à leur environnement: ils en ont pris plein la g…

            Celles-ci sont documentées dans de nombreuses études et plusieurs pédopsychiatres ont tiré la sonnette d’alarme.

            Jamais une génération d’enfants n’aura connu de tels excès en Suisse depuis le début de notre « monde moderne ».

            Vu le profil de cette maladie, une approche ciblée sur les personnes à risque et des mesures simples mais efficaces pour le reste de la population aurait donnée les mêmes résultats que cette usine à gaz.

            En fait, une bonne partie de ce qu’il ne fallait pas faire mais que nous avons fait quand même est documenté dans le rapport de la gestion de crise de H1N1 de 2010.

            Je vous propose de commencer par lire « Did lockdown work » (Institute of Economics Affairs, Jonas Herby, Lars Jonung & Steve H. Hanke).

            Il y a des centaines d’autres études parues depuis qui vont dans le même sens et sont encore bien plus sévères avec cette gestion.

            La communauté scientifique savait assez rapidement que l’on allait trop loin mais le monde politique s’est pris à son proche piège.

            Or, si les adultes méritent de payer pour leurs erreurs car ils ont le droit de vote, les enfants ne font que subir nos erreurs.

        3. Bien que vous affirmez que « les conséquences de cette gestion de cette crise sont majeures et durables pour les enfants et les jeunes  » et que « celles-ci sont documentées dans de nombreuses études », la seule étude que vous parvenez à citer pour avaliser votre thèse que les enfants « en ont pris plein la g…  » est celle réalisée par un groupe d’économistes d’outre-Atlantique, qui, en toute logique, ne se consacrent pas à la santé des citoyens, mais plutôt à celle des entreprises (américaines en l’occurrence).

          Dans le domaine qui nous préoccupe, vous auriez pu consulter l’étude « Répercussions de la pandémie de coronavirus sur la santé de la population en termes de vulnérabilité et de ressources : Sélection de résultats de recherches de 2020 pour la Suisse »

          Pour votre gouverne, cette étude, réalisée sous l’égide de la Confédération, cite 37 autres publications réalisées par des spécialistes dans le domaine de la santé publique. Elle arrive à la conclusion suivante, qui réfute complétement votre vision alarmiste  :
          « Durant le confinement et lors de la deuxième vague de début novembre, au moins 85 % des personnes interrogées ont estimé que leur qualité de vie et leur «état de santé actuel» étaient bons ou très bons. 15 % de la population se sentait «mal» à «très mal». Ces valeurs ne diffèrent que légèrement des valeurs analogues constatées avant la pandémie. »

          1. Décidément, on poursuit dans la mauvaise foi: on démolit une étude qui fait référence sur la base de sa provenance sans la lire ?

            Si vous l’aviez fait, vous auriez constaté qu’il s’agit d’une méta-analyse de 32 études publiées dans le monde. Elle est basée sur des indicateurs vérifiables et mesurales: taux d’incidence, hospitalisation, décès, etc

            Votre document a été publié en 2021. Il est basé sur des sondages et des ressentis. C’est un bon document politique pour justifier ses erreurs mais certainement pas un document scientifique.

            De plus, en 2021, on manquait de recul. Le document mentionne toutefois l’impact varie fortement selon la classe d’âge or les enfants n’ont pas été sondés. Il faudrait un minimum d’indicateurs chiffrés pour confirmer certaines affirmations (retard scolaire, incidence de certaines maladies y compris psy, surmortalité, suicides, etc).

            Alors je vais vous en donner un: l’INSEE en France vient de publier ses chiffres de surmortalité pour 2022. C’est la pire année de la pandémie !

            Mais surtout on constate une surmortalité inexplicable de 10,2 % dans la classe d’âge 15-34 ans et 6.3 % chez les enfants.

            Contrairement à la surmortalité des personnes âgées qui est attribuée à la grippe et à canicule, aucune explication autre que l’impact de la gestion de la pandémie ne peut être avancée.

            Pour les autres indicateurs concernant les enfants, lisez les rapports de l’UNICEF et la conclusion de sa directrice générale:

            « Tout indique que les enfants subiront les séquelles de la pandémie pendant des années à venir. »

            La Suisse n’est pas épargnée. Cette incapacité à faire son auto-critique et apprendre de ses erreurs est insupportable. Aucun esprit critique et aucun courage politique.

            C’est cette complaisance qui a amené le Crédit Suisse à la faillite.

            Mais qu’une banque fasse faillite, je m’en moque contrairement à la santé de notre jeunesse.

        4. Jusqu’à preuve du contraire, l’économie n’a rien à voir avec l’épidémiologie et c’est effectivement de la mauvaise foi que de se servir d’une étude d’économistes, par ailleurs non soumise, comme il se doit avant publication,  au processus de révision d’un comité de lecture constitué d’experts, pour juger que le confinement n’a servi à rien pour préserver la santé publique durant la pandémie. 

          Ce n’est donc pas un hasard que la publication que vous citez : « Did lockdown work » (Institute of Economics Affairs, Jonas Herby, Lars Jonung & Steve H. Hanke) a été fort  décriée par le milieu médical, ceci malgré une seconde publication présentant des indices de mortalité corrigés, mais manquant toujours aussi cruellement de références médicales sérieuses.

          Quant à vos « centaines d’autres études » ainsi que signaux d’alerte de pédopsychiatres, censés avaliser votre thèse que « jamais une génération d’enfants n’aura connu de tels excès en Suisse depuis le début de notre monde moderne », je constate qu’à ce jour elles brillent toujours par leur absence. 

          1. Pour votre information, les mesures sanitaires sont avant tout sociétales.

            Car si le coefficient de reproduction dépend en partie de la capacité intrinsèque du virus à se reproduire et à l’immunité acquise (si celle-ci est capable de bloquer la contagion), une grande partie du R final est lié au comportement de l’individu.

            C’est ainsi que le port du masque qui peut-être démontrée théoriquement n’a jamais fonctionné en pratique en population générale. Même les professionels de la santé font des erreurs en les portant alors pour le public (le changer tous les 4 heures, ne pas le toucher ni le déplacer, l’ajuster de manière à ce qu’il adhère hermetiquement, le changer s’il est humide – pluie, etc).

            Donc le fait que cette méta-analyse ait été financée par un institut économique ne signifie pas que les 32 études sous-jacentes ont été écrites par des économistes.

            La méthode est décrite. Elle ne cherche pas à apporter des preuves médicales: elle compare des populations identique avec ou sans mesure, cela n’a rien à voir avec de la médecine.

            Ce sont des méthodes statistiques comme des millions de projet de recherche conduite en médecine.

            Et comme vous le mentionnez-vous même, elle a été mise à jour pour tenir compte des critiques.

            La surmortalité de plus de 10 % en 2002 en France chez les jeunes ne semble pas non plus vous émouvoir (chiffres qui se retrouvent presque dans tous les pays qui ont pris des mesures fortes).

            L’Unicef n’est pas non plus une référence pour vous.

            Et, puisque vous aimez la presse grand public, difficile de passer à côté de plusieurs articles récents qui relatent l’inquiétante progression de dépressions, de pulsions suicidaires voire d’auto-mutilation chez les jeunes.

            Un exemple: ttps://www.rts.ch/audio-podcast/2023/audio/la-demande-de-conseils-au-147-de-pro-juventute-atteint-un-niveau-record-26166827.html

            Le contexte de crise permanente qui a débuté durant le Covid est mis en cause (Covid, climat, etc).

            Difficile donc de faire sortir la tête de l’autruche du sable… ça s’appelle du déni !

          2. Voici une autre source pour compléter mon message précédent:

            ttps://www.lemonde.fr/sciences/article/2022/04/25/c-est-tres-evident-et-c-est-tres-franc-inquietude-face-a-la-hausse-constante-des-tentatives-de-suicide-chez-les-jeunes_6123575_1650684.html

            A noter que cette augmentation a débuté depuis la crise sanitaire et que les suicides et les accidents sont la première cause de mortalité chez les jeunes contrairement au Covid qui n’est pas dans le classement.

          3. Nouvel élément du dossier

            L’Angleterre fait ce que nous ne faisons pas:

            ttps://www.gov.uk/government/publications/covid-19-non-pharmaceutical-interventions-to-reduce-transmission

            Elle a analysé 151 études concernant les mesures Covid-19.

            Conclusion:

            « The evidence generated on the effectiveness of NPIs implemented in community settings to reduce the transmission of COVID-19 in the UK was primarily based on modelling studies (100 out of 151 studies) and there was a lack of experimental studies (2 out of 151 studies) and individual-level observational studies (22 out of 151 studies). »

            Bref, à part les études qui faisaient des projections dramatiques, le gouvernement anglais manquait cruellement de preuves scientifiques derrières les mesures qui ont été prises.

            L’Australie a lancé une initiative similaire mais l’aspect médical (dont les vaccins) ont été aussi inclus.

            En Suisse, on a chaque revoté sur la base de « mesures qui ont fait leurs preuves ». Quelles preuves ?

            Quand on voit la sévérité de la répression contre ceux qui refusaient ces mesures (j’ai vu que Mme Sandoz a été interviewé dans le cadre d’un documentaire qui traite de la disproportion des mesures), on ne peut que constater que le terme « dictature sanitaire » n’était pas usurpé.

          4. Nouvel article dans The Guardian qui confirme ce que plusieurs études ont déjà relevé:

            ttps://www.theguardian.com/uk-news/2023/oct/16/uk-lockdowns-were-a-policy-failure-health-expert-tells-covid-inquiry

            “The harms of the social distancing measures – particularly lockdown, the economic harms, the educational harms, the harms to access to healthcare, the harms to societal wellbeing … just the way we all function … mental health – were not included in any of the work that SPI-M-O did and, as far as I could tell, no one else was doing it either,”

            Les enfants ont perdu 1 à 2 ans d’éducation et de vie sociale.

            Les seniors ont perdu 1 à 2 ans de vie à voir leurs petits-enfants.

            1 année pour 8.6 mio d’habitants avec une espérance de vie de 84 ans, cela fait presque 105’000 vies perdues en Suisse.

            La disproportion a été aux commandes poussé par les experts de pacotille et leurs projections totalement absurdes.

  11. Entièrement d’accord.

    Les enfants sont très sensibles à la pression sociale et ne sont pas prêt à risquer de s’exclure du groupe même s’ils ne sont pas d’accord. Ils vont donc se taire ou répéter ce qui les rendra populaires même si le sujet les met mal à l’aise voire plus.

    Apprendre à respecter la différence ne doit pas se faire de cette façon et parfois au détriment de l’enfant.

  12. Chère Madame,
    Avant même avoir réalisé que j’étais gai, j’ai été plongé durant mon enfance dans  » dans un monde de déséquilibre et de problèmes » soit un environnement social qui ne supportait rien de ce qui pouvait s’écarter de la norme. J’ai subi des remarques homophobes, le harcèlement sur le chemin de l’école et même des coups un soir de carnaval en pleine rue. Aucun adulte ne s’est interposé. Vous savez pourquoi ? Parce que personne ne voulait voir. Alors permettez moi de me réjouir aujourd’hui que les jeunes LGBTIQ puissent vivre et s’épanouir dans un monde plus généreux et accueillant à leur égard. Et si je peux me permettre un conseil, tâchez de vous en réjouir aussi 🙂

    1. On ne peut pas penser que les gens qui sont contre les déviances LGBTxyz soient nécessairement pour qu’on leur fasse du mal, pas plus qu’ils soient pour les récupérations politiques des minorités sectaires organisées par des crypto-communistes SELISBOLFA (Socialo-écolo+lgbtx-islamo-bolchévo-fascistes) mais pas non plus pour qu’on les déifie ou qu’ils fassent parties de sectes actuelles, antiques, voir préhistoriques. Voir sous « mon bourbonais ferrieres-sur-sichon-glozel » l’image d’un double sexe. A des déformations physiques il est difficile de ne pas croire que correspondent aussi des déformations psychiques et réciproquement, ce qui explique pourquoi certains n’hésitent pas à parler de maladie, même si c’est erroné. Je vous cite: « Parce que personne ne voulait voir » C’est très intéressant parce qu’on pourrait croire à une maladie honteuse. Et malheureusement j’ai fini par déduction a en découvrir la vraie cause de cette honte. On a commencé à en parler parce qu’il s’agissait de cas multiples en République Dominicaine.
      .
      Puis, on a fait semblant d’en découvrir dans d’autres pays de bronzés et très difficilement chez des blancs. C’était pourtant bien simple. Tout ceci est la conséquence de viols dans les familles et de l’effet de la consanguinité. Voilà le pourquoi de la honte et des autres violences qui s’y rattachent consécutivement et qui sonnent à l’évidence comme des preuves que personne ne veut voir !!! N’oublions pas non plus que ces personnes ne devraient pas avoir d’enfants pour éviter ces « épidémies » d' »imperfections ». Mais quand on a pu entendre que des médecins vont proposer à des drogués d’avoir un enfant pour résoudre leurs problèmes, on est en droit de s’interroger sur leur serment d’Hypocrate et sur leur état mental. Plutôt Hypocryte… pour vouloir ainsi faire prospérer leurs grandes affaires médicales.

    2. Merci de votre témoignage. D’accord avec vous: le société doit promouvoir le respect de l’autre, la non-violence et l’exclusion. S’écarter de la norme ne concerne pas que l’orientation sexuelle mais des milliers d’autres aspects.

      Mais depuis un certain temps, on constate une polarisation de la société. Des « majorités » qui écrasent des minorités. Un retour du bien-penser et de la censure. Certains articles et commentaires durant ces dernières années de crise faisaient froid dans le dos.

      Cela signifie simplement que la norme a évolué, pas la tolérance de la population. En fait, jamais l’intolérance n’aura été aussi forte. Des violences inimaginables sont commises quotidiennement pour des raisons futiles, même en Suisse.

      Les politiciens ont fait du « diviser pour régner » leur stratégie numéro un. Rassembler ne paie plus.

      Le monde est devenu monochrome et ceux qui ne pensent « gris clair » sont désormais classés avec ceux qui pensent « noir »: complotistes.

      Vous devriez vous en inquiéter: c’est comme si on avait relâché la pression dans un domaine pour pouvoir en exercer une autre ailleurs. Mais rien n’est jamais acquis et la norme peut changer rapidement.

      Alors, plutôt que de parler de sexualité trop tôt aux enfants, commençons par leur enseigner la tolérance comme comportement. Cela passe par des petites choses quotidienne dans les cours d’école pour éviter que le groupe ne s’acharne sur un individu quelle qu’en soit la raison.

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