La « Newsletter vaudoise » (tout le monde ne peut pas écrire les « Lettres persanes ») du Temps numérique du 4 août dernier rayonnait de deux bonnes nouvelles, capables, comme l’écrivait l’auteur, de corriger « le cynisme ambiant », et je ne peux résister à l’envie de les partager et de les faire connaître.
- Une entreprise vaudoise forme avec succès des apprentis parmi des requérants d’asile
L’entreprise d’électricité Gaudard forme notamment des personnes venues de différents pays en tant que requérants d’asile et trois d’entre elles viennent de décrocher leur CFC. Bravo aux lauréats et merci à la maison Gaudard de former des apprentis à une époque où il est plus précieux que jamais de reconnaître et de consacrer l’importance et la valeur du travail manuel, une des richesses du canton.
- La fréquentation des girons des jeunesses campagnardes atteint des records
La valeur humaine et professionnelle de ces girons de la jeunesse campagnarde n’est pas souvent honorée. En effet, l’organisation par des jeunes de ces rencontres festives représente une capacité de travail, d’engagement, de dévouement mais aussi de joie de vivre et d’amitié bien éloignée des échanges des réseaux sociaux dont ces girons constituent une sorte d’antidote.
Combien de fois ne perçoit-on pas dans les médias du mépris à l’égard des paysans ou des campagnards accusés par des « bien-pensants » d’être des pollueurs, des retardés conservateurs. Merci au Temps d’avoir au contraire relevé cet élément si positif de la population campagnarde !