Où en est-on de l’affaire Broulis? (suite)

Le petit article ainsi nommé, mis sur le blog le 13 juillet et brusquement disparu pour réapparaître 3 semaines plus tard (fausse manipulation de ma part ?) aura une réponse cet automne devant le Grand conseil vaudois. Le journal « Le Temps » de ce samedi 16 août (p.7) nous informe en effet qu’un rapport d’expertise externe concernant le bouclier fiscal va être publié dans une dizaine de jours et que le Conseil d’Etat n’est pas favorable à la création d’une enquête parlementaire à ce sujet largement soutenue en son temps par le Parlement.

En lien « temporel » avec cette affaire, l’instruction pénale ouverte contre Mme Dittli pour une prétendue « violation du secret de fonction » devrait faire connaître son résultat dans le courant de septembre aussi.

 

 

5 thoughts to “Où en est-on de l’affaire Broulis? (suite)”

  1. Avant que le rapport d’expertise externe ne soit publié, le Conseil d’Etat n’est pas favorable à la création d’une enquête parlementaire … Ne suis pas du tout étonnée …

  2. Pascal Broulis a toujours réfuté avec véhémence l’expression « Affaire Broulis », la considérant comme une atteinte à sa personnalité; interprétation confirmée, (indirectement) par le Tribunal civil d’arrondissement de Lausanne, comme nous l’apprenait la RTS en date du 21 février 2025. J’en avais déduit que l’intéressé était abonné à ce blog, et qu’il était intervenu prestement pour faire disparaître votre article du 13 juillet, que j’avais à peine eu le temps d’apercevoir.
    Le quotidien 24 heures a opté pour la « Saga Broulis » qui, jusqu’à ce jour, n’a pas suscité l’ire du concerné.

    1. Merci de l’information. Elle m’avait échappé. Comme quoi *de la nuance avant toute chose » comme aurait dit Verlaine, mais c’était alors à propos des vers ayant un nombre impair de pieds!….

  3. À l’ombre de l’affaire Broulis, il y a aussi le cas Ruiz, conseillère nationale vaudoise socialiste, jouissant d’un poste fictif de maîtresse d’école pendant deux ans, une affaire très rapidement glissée sous le tapis par le milieu journalistique, essentiellement de gauche.
    Ci-dessous, un extrait de Wikipédia :
     » Le 20 décembre 2018, le journal Le Temps révèle que « La conseillère nationale socialiste a bénéficié entre 2013 et 2014 d’un contrat de maîtresse secondaire, alors qu’elle n’a jamais enseigné, auprès du Département de la formation, dirigé alors par sa camarade de parti Anne-Catherine Lyon ». Rebecca Ruiz a répondu qu’elle avait toutes les compétences requises pour obtenir ce mandat et assuré qu’elle avait tout de suite alerté la direction lors de la réception de ce contrat ; elle s’est alors entendue dire qu’il s’agissait « juste d’un procédé administratif »

  4. Professeure,
    Merci pour ce complément. Vous savez très bien que la « justice » vaudoise fera tout son possible pour cacher à la population la plus grande partie des éléments « dérangeants » dans cette affaire. On nous donnera quelques miettes à grignoter et c’est tout. Dans tous les cas pas assez de miettes pour satisfaire notre appétit de vérité.

    Mais aussi des miettes bien arrangées, stylistiquement parlant, dans le but d’enterrer d’emblée toutes les velléités de recherches de (vieilles) « vérités fiscales ».

    Les « combines fiscales » sont comme un virus pour lequel aucun vaccin ni traitement ne sera jamais « inventé » et/ou « suggéré ». Et ce virus s’est déjà propagé au monde entier.

    Bons messages. eab

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