Dans son communiqué de presse à propos de l’accord sur les pandémies, l’OMS précise à propos de la souveraineté nationale :
« Aucune disposition de l’Accord de l’OMS sur les pandémies ne doit être interprétée comme conférant au Secrétariat de l’OMS le pouvoir d’orienter, d’ordonner, de modifier ou de prescrire de toute autre manière le droit national et/ou interne, selon qu’il convient, d’une Partie ou de prescrire ou d’imposer de toute autre manière aux Parties de prendre des mesures spécifiques, telles que l’interdiction ou l’acceptation des voyageurs, l’instauration de l’obligation de vaccination ou de mesures thérapeutiques ou diagnostiques ou la mise en place de confinement ».
Avant de prêter la moindre valeur à cette déclaration lénifiante, trois questions devraient être posées aux responsables de l’OMS :
- L’OMS s’engage-t-elle à rechercher et à publier toute la vérité au sujet de l’origine du virus du Covid-19 et de l’origine de toute pandémie future ?
- Quelles conditions strictes l’OMS pose-t-elle à la preuve, par les fabricants de produits pharmaceutiques, qu’un vaccin, un traitement ou un produit de diagnostique puisse être considéré comme « sûr, de qualité et efficace » concernant l’agent pathogène cause de la pandémie ?
- L’OMS a-t-elle étudié et, si oui, entend-elle les publier, les conséquences humaines, sociales et économiques des derniers confinements ?
En l’état actuel des choses, l’OMS ne jouit pas de la moindre confiance. Et pourtant, les Etats ont l’air de soutenir le projet d’Accord sur les pandémies. Souffrent-ils de schizophrénie ou de cécité ?